« D« Depuis ma tendre enfance, avant que les tragédies arrivent, je vivais une vie paisible avec ma famille. Je n'avais certes que 4 ans, mais ce qui me revient dans mon esprit sont que des images de bonheurs. Quand on est petit tout ce qui est autour de nous, nous semble si beau, si parfait. On est si naïf quand on est jeune. La jeunesse c'est peut-être les années qu'on aimerait revivre sans arrêt. Mais pour mon cas, ce fut de courte durée... ce bonheur...
Comment puis-je vous le dire, ma mère est morte dans un accident de voiture. Elle était en route pour venir me chercher à la garderie. À cause de cet accident, mon père s'était déplacé pour venir me chercher d'un 'air sombre, il m'emmena tout de suite avec lui à l'hôpital. C'était tellement rempli de mondes malades. On me mit au visage, un masque pour pas que j'attrape quelque chose... Je ne comprenais pas la situation, tout était si étrange pour moi... Mais ce qui me revient le plus à l'esprit, c'est quand je vis un homme aller voir mon père pour lui parler en privé. Quand ils eurent finit de discuter, ce qui me fit le plus souffrir c'était de voir mon père s'effondrer sur le sol, pleurant pratiquement toutes ses larmes de son corps. Quand nous fîmes arriver à la maison, mon père mit ses mains tremblantes sur mes si petites épaules. La première chose que je lui demandai avant qu'il me parle était, c'est quand que maman revient à la maison. Il regarda le sol si triste, quand il releva son visage pour plongé son regard dans le mien, il m'expliqua que ma mère était partie faire un voyage là où elle serait toujours paisible. Qu'elle serait toujours là pour nous surveiller là où elle était.
Mais après plusieurs semaines, mon père oubliait de venir me chercher à la garderie et même il oubliait pratiquement ma présence. Comme si je n'existais plus. Était-ce à cause que je ressemblais trop à ma défunte mère? Ça c'est une réponse que je ne saurai jamais. Un jour, une agent est venue sonner chez nous. La DPJ était venue me chercher... Ma gardienne avait dénoncé mon père vu qu'il ne s'occupait même plus de moi et qu'elle était très inquiète à mon sujet. Elle me demanda mon nom et me prit la main pour m'asseoir sur le petit sofa, qui était tout prêt de moi. Quand la série de question fut terminée, l'agent alla chercher mon père qui s'était saoulé encore une fois de plus. Depuis cette journée, je fis placer dans plusieurs maisons d'accueils. Je ne savais pas comment réagir à tout cela. Je ne connaissais même pas c'est gens. Je voulais que mon père me sorte de ce cauchemar. Mais il ne vient jamais...
Plus tard, quand j'eus mes 6 ans, j'avais été placé depuis 1 an et demi, dans une maison que j'aurais voulue fuir. Mon père adoptif était un vrai saoulons qui battait ma mère adoptive et moi. J'étais si stresser dans cette maison. Quand un jour, ma mère adoptive m'emmena faire une petite promenade, je fus si surprise, mais aussi je fus très heureuse. Elle m'emmena devant une bâtisse étrange. Elle m'inscrivit pour que je puisse suivre des cours de Karaté. Ce qui me fit sourire, j'avais enfin un endroit pour m'évader de cet enfer.
Quand mon "père" sut ce qu'avait fait ma "mère", je m'enfuis dans ma chambre, cacher sous le lit, pour éviter de me faire battre encore une fois. Quand ma porte s'ouvrit, le stresse montait sans cesse en moi.

- N'ai pas peur Lunae, ce n'est que moi. Dit ma "mère" avec une voit tremblante.

Même si je savais que c'était elle, je ne voulais pas sortir de ma cachette... Elle se glissa avec moi sous le lit et elle me regarda. Ce qui m'attrista le plus au point c'était de voir son visage couvert de blessure... Bon avançons dans l'histoire, si cela ne vous dérange pas?

Dès mes 16 ans, je vivais toujours dans cet enfer. Je restais pour ma mère adoptive, qui prenait soin de moi comme sa propre fille. Hélas mon "père" lui avait empiré... Une chance que je savais faire du karaté et que j'étais très douer là dedans. Je pouvais protéger celle qui me donnait de l'affection. C'était la seule que je me souvenais... Quand j'essayais de penser à ma vraie mère... Je ne voyais que celui de celle qui m'avait adopté... Ce qui me fendait souvent le coeur... Car je n'avais pas eu la chance de connaître ma vraie mère et mon père en même temps. Je ne connaissais que cette famille qui était si malheureuse. À l'école je vivais de l'intimidation... Sûrement à cause que je n'étais pas très sociale. Comment pouvaient-ils se croire supérieure à quelqu'un seulement parce que je n'étais pas dans la possibilité de me faire des amis (es) ? Certes, la solitude ne me dérangeait guère. Je pouvais être plus concentré en classe, je pouvais même aller à mes courts de gymnastique sans me soucier de mon emploi du temps. Mais un jour, juste une journée, qu'il y ait une personne qui m'énerve encore une fois. Je ne leur ferai pas de pardon. Ha ha ha ha, j'allais oublier de vous dire comment est apparue mon pouvoir.
La journée avait commencée comme les autres, je me levai comme dans mon habitude, etc. Quand j'arrivai dans ma classe, tout le monde me regardait en riant. Une jeune fille s'était placée sur mon bureau et elle semblait vouloir y rester. Bien sûr, je lui demandai poliment (mais un peu bêtement) si je pouvais avoir ma place. Quand elle se leva pour me dire de dégager, je lui lançai un de ses regards noirs. Je voulais tellement qu'elle s'imagine que j'étais un démon noir avec des cornes et des yeux rouges vif comme des rubis.

- Ok, ok ok je vais… je vais te laisser ta place. Mais ne me faite pas de mal… je vous en prix !! Murmura la fille qui était devant moi et qui me laissa ma place étrangement.

Quand je me regardai dans le miroir , je fus tellement surprise de voir qu'un de mes yeux bruns était devenue rouge vif. Il était magnifique! On aurait dit un rubis! Mais ce fut de courte durée... Mon oeil redevient vite brun. Une chance quoi, je ne voulais pas qu'on me prenne pour un monstre. Déjà que plusieurs personne c'était éloigner de mon bureau. La paix quoi! Je ne demandais pas mieux que de m'éloigner de ces tarés. Ce jour m'avait parue comme une simple journée aussi banale que les autres, mais j'ignorai qu'après cette journée tout changerait. Du jour au lendemain, personne ne m'intimidait. Personne ne cherchait des ennuies avec moi. Que la vie était belle maintenant! Une place enfin tranquille où je pourrais relaxer avant de retourner dans ma maison... Certes ce n'était pas vraiment le meilleur endroit pour relaxer avec tous ces devoirs et leçons, mais c'était mieux ça que de voir mon père saoul et qui veuille nous battre ma mère et moi. Puis soudainement, vers la fin des courts, un jeune homme vient me voir devant mon cassier, l'air dégoûté par ma présence.

- Yo, commença-t-il, comment ça se fait que ma copine est si peur de toi maintenant ? Toi qui est… qui…

Avant même qu'il puisse finir sa phrase, je le regardai cruellement. J'étais quoi ? Un déchet ? Une loser ? Je n'étais pas contente du tout. J'avais tellement envie qu'il m'aperçoit comme sa copine m'aperçue. Comme un grand démon, qui avait l'air si cruelle, si diabolique, qui n'a pas de pitié envers une proie.

- Oh mon dieu !!! Tu es quoi ?!!! Cira le jeune homme avant de prendre ses pantalons et de prendre fuite.

J’ouvrai tout de suite ma casse, au mon dieu, mon œil était si rouge. Mais il ne voulait pas reprendre sa couleur ! Comment se faisait-il ? Une chance que j’avais oubliée mon costume d’Halloween. Je pris tout de suite mon cache œil et le mit sur mon œil gauche. Quand j’arrivai chez moi, ma mère vient tout de suite me voir inquiète.

- Que s’est-il passée ma puce ? Demanda-t-elle tout de suite quand je déposai mon sac sur le sol.

- Rien m’man, j’ai juste une poussière dans l’œil. Dis-je sans regarder ma mère.

- Laisse moi voir mon ange, je peux arranger sa avec des goûtes pour les yeux.


- Non ! Ça va passé j’te dis m’man…

- Je t’en pris… Laisse moi t’aidé ma puce…

- Ok, mais tu me promets que tu ne vas pas fuir ?

J’enlevai tout de suite mon cache œil et je me retournai rapidement. Les larmes coulaient a flot. Ce n’était pas dans mon habitude, mais je ne savais pas ce qui se passait. Une situation comme celle-là ne m’avait jamais arrivé ! Comment devais-je réagir ? Normalement ? Inquiète ? Car oui j’étais si inquiète, je ne savais même pas ce qui se passait… Comment la couleur de mon œil gauche pouvait devenir soudainement rouge vif et que les gens ont la possibilité de voir ce que j’aimerais qu’il voit.

- Oh mon dieu Lunae ! Comment se fait-il que ton œil soit devenu si rouge ? Demanda ma mère surprise par la situation.

- Je n’en sais rien ! Je n’en sais rien !! Criai-je en tombant lourdement sur le sol, prenant mes cheveux dans mes mains.

- Oh ma puce !

Ma mère me prit dans ses bras et commença a me chantée une petite chanson. J’avais peut-être 16 ans, mais j’adorais cela quand ma mère chantait cette chanson si réconfortante.

- J’ai peur… Finis-je par dire, les gens qui me regardent ont la possibilité de voir des images qui vient de mon imagination… Est-ce normal ??

Un lourd silence plana dans la pièce, elle ne me croyait pas. Elle allait me lâcher et crier que j’étais un monstre. Elle aurait raison… J’en étais un, mais… Les visions que je pouvais faire aux gens serait mon moyen de défense, non ?

- Maman…. ?

- Hum oui ? Humm… Ma petite puce… Je ne comprends pas vraiment comment tu pourrais donner des illusions aux gens?

- Je peux te montrer si tu veux m’man…

Puis je la regardai dans les yeux. Je n'imaginais pas d'image sombre et ni horrible. Pas pour ma mère, elle était si douce. Puis je pensai que je devenais un ange qui commença à monter vers le plafond. Je la vis monter son regard, comme si elle vivait mon illusion. C'était ça ! J'avais le pouvoir de créer des illusions à des personnes ! Merci maman !! Grâce à elle, je sus mon pouvoir. Mais il fallait y penser ! Que j'étais bête ! Comment se faisait-il que je n'y avais même pas pensé une seconde ! Je sentais que se pouvoir allait beaucoup me plaire. Le pouvoir de créer des illusions, quelle bonne méthode pour effrayer ceux qui mon intimidé toute ma jeunesse ! HA HA HA HA HA !!! Je pourrai enfin me venger ! Quand ma mère revient à la réalité, elle me regarda étrangement.

- Je… je ne sais pas quoi dire ma puce… Tu as un merveilleux don que tu devrais utiliser avec précaution. Tu ne trouves pas ?

- Oui… Mais ne t’inquiète pas, je porterais toujours mon cache œil. Je n’ai pas envie qu’on croit que je porte toujours un verre de contacte sur mon œil gauche.

Puis je pris mon sac et montai vers ma chambre. Je n’avais plus envie d’en parler et je voulais être seule avec moi-même. Surtout que je savais que mon père était en bas et le voir saoul ne m’intéressait pas.
Quelque temps plus tard, mon père découvrit mon «pouvoir». Car je l'avais utilisée sur mon père adoptif sans faire exprès... J'étais prise de colère... Il m'avait cherché! Mais si j’aurais su les conséquences que mon père prévoyait, j’aurais écouté réellement ma mère quand elle m’avait dit de l’utiliser avec précaution...
Il avait arrêté de se saouler, mais il m'attaquait souvent par derrière quand j'arrivais à la maison après l'école. À chaque fois que je me réveillais, je n'étais même plus chez nous et j'étais attachée sur une chaise... Il me traînait de force dans un bureau sombre avec une petite lumière et il enlevait mon cache oeil. Il y avait toujours des hommes différents qui se tenaient devant moi. Mon père m'utilisait pour que je fasse parler ces hommes. Il me criait dessus que si je ne faisais rien, il me laisserait dans cette pièce jusqu'à temps que j'utilise mon pouvoir... Il tenait fortement ma tête pour m'empêcher de bouger. Je finissais toujours par craquer et j'envoyai des images les plus horribles. Les hommes finissaient rapidement par avouer leur tord et demandait pardon. Mais pour mon père ce n'était pas suffisant, il fallait qu'ils paient de leur poche. Chacun d'eux lui offraient des chèques d'une somme incroyable les unes des autres. Après chaque «entrevue», il me détachait en me félicitant de mon beau travail. Mais un jour arriva, j'avais manqué l'école pour une bonne raison. Je quittais pour de bon la Californie. J'avais discuté de mon plan avec ma mère adoptive et elle m'avoua qu'elle en avait parlée à son frère et qu'il se pourrait que je vienne habiter chez lui. Elle voulait mon bien et que j'aie une vie meilleure. Elle s'excusa de n'avoir su me protéger et qu'elle s'en voulait d'avoir rien fait pour moi. Je la serrai dans mes bras, pleurant doucement et lui avoua que ce n'était pas de sa faute si tout cela était arrivé. Comment une personne aussi gentille et aussi douce pouvait s'en vouloir sur des choses qui n'avaient aucun rapport avec elle ? Je ne comprenais rien à tout cela. Il fallait maintenant que j'aille faire mes valises. Mais avant, il fallait que j'aille voir mon père pour lui dire que je m'en allais pour New York.

- Père, je voulais vous avouée que je pars pour New York. Je suis plus que tanné que vous m’utilisez ! J’en ai marre de vous voir saoul tous les soirs. Et j’en ai plus que marre que tu nous battes moi et maman !!

- Oh ma petite S***** !!! Tu n’iras nulle part ! Et qui va t’héberger à New York ? Tu seras seule. Et sans nous tu serais dans la rue !

Puis il me prit par la tête et m’emmena dans la cuisine, ma mère adoptive s’interposa. Mais elle fut poussée violemment sur le mur qui était tout près… Quand il prit un couteau, il le déposa tout de suite sous ma gorge. Il avait un regard si noir et si épeurant. Je ne pouvais pas cacher ma frayeur envers mon père adoptif. Il voulait me tuer ! Il était devenu fou ! Puis ma mère revient à l’assaut, essayant de lui mentir au sujet que je resterais avec eux aussi longtemps qu’il aurait besoin de moi. Pour simple réponse il lui coupa un peu la joue et ses avants bras. Elle cria de douleur et moi j’eus la chance de m’enfuir et de trouver dans un petit meuble un révolver. Je le pointai devant mon père adoptif. Mes mains tremblaient, mon corps aussi. J’étais pratiquement figée par la peur.

- Tu ne réussiras jamais à me tuer ! Même si tu avais le courage pour le faire, tu ne le ferais pas. Parce que tu aimes trop ta mère adoptive pour me tuer. Elle m'aime à la folie et elle te détesterait pour toujours !

- Elle reste avec toi seulement parce que tu lui fais peur ! Comment pourrait-elle t’aimée avec ce que tu lui fais ? Qu’elle femme accepterait de rester avec un malade telle que toi ! Tu es même entrain d’essayer de me tuer. N’as-tu pas honte ?!

- Jamais j’aurais honte de tuer un monstre telle que toi !

Puis il s’avança vers ma direction avec le couteau pointer dans ma direction. Soudainement un coup de feu sortit de nulle part. Je venais de tirée sur mon père adoptif. C’était pour légitime défense ! Quand à ma mère qui avait assisté à la scène, sa première réaction fut de courir vers le cadavre de mon père.

- Il est mort… Lunae donne moi ce fusil tout de suite ! Me cria-t-elle sous une impulsion de colère.

- Je…

- Ne t’en fais pas Lunae je ne suis pas en colère contre toi, Me coupa-t-elle en essuyant le fusil pour ensuite prendre le fusil et laisser ses propres emprunte digitale.

- Mais maman ! Ce n’est pas toi qui as tiré, c’est moi ! Criai-je fou de rage.

- Shuuuutt !!!! Je sais, mais je prends la responsabilité sur mes épaules. Je dirai au policier qui a tenté de me tuer et que j’ai tirée pour légitime défense. Ils me croiront, regarde les blessures qu’a faites mon mari. Et j’ai encore plein de cicatrice de ce qui m’a fait. Donc je ne risque pas d'aller en prison ne t'inquiète pas pour moi. Aller va! Une nouvelle vie t'attend. N'oublie pas de me donner ton numéro de cellulaire quand tu en auras un à New York.

- Oui m'man, je n'oublierais pas...

Quand je me retournai, j'essuyai quelques larmes. Je me sentais si triste de laissé celle qui m'avait aimée avec tant d'amour. Quand je fus arrivée à l’aéroport de New York, je me sentis perdu. Je ne connaissais personne et je ne savais même pas à quoi ressemblait mon oncle. Comment allait-il me reconnaître ? Ma mère, lui avait-elle donnée une photo de moi ? Puis soudainement un homme grand et très costaud arriva devant moi. Je me sentais si intimidé par cet homme…

- Bonjour, commença-t-il doucement, tu dois être Lunae Luvia ?

- Oui ? Et vous mon oncle ? Demandai-je doucement.

- Oui.

Puis il déposa une main sur mon épaule et me dirigea vers sa voiture. Sa maison était incroyablement belle !!! J’allais vivre là dedans ? Impossible. C’était tellement magnifique. Le plancher était si brillant, si clair. Les murs étaient d’un beige si étonnamment pâle qu'on aurait dit qu’il était blanc !

- Où est ma chambre ? Demandai-je doucement

- Tu ne vas pas habité ici, mais dans un appartement qui est juste à côté du mien ma belle.

- Ha oui ? Puis-je le voir ?

- Bien sur, mais avant je dois te parler sérieusement, dit-il en me pointant une chaise pour que je m’assise dessus. Bon tu vas travailler pour moi comme serveuse à mon restaurant. Mais ça ne saura pas ton vraie travail. Ça sera ta doublure. Car ma sœur ne sais pas, mais en réalité je suis un tueur à gage. Ce n'est pas moi qui choisie les personne que je dois tué, mais une personne très haut placé qui me donne des victimes à assassinés et il on besoin de toi. D’une femme qui pourrait attirée les hommes avant de les tuer. Je sais que tu t'y entendais pas, mais c'est la triste vérité. J'en suis terriblement désolé Lunae.

- Euh je ne comprends pas, mais je sens que je vais devoir m'y faire... N'est-ce pas?

- Oui...

La situation ne me plaisait guère, mais je devais m'y faire. Je serais une tueuse à gage et j'allais tout faire pour impressionner mon oncle. Il le fallait si je ne voulais pas être sur une prochaine liste... Alors, mon oncle me montra comment utiliser un fusil et plusieurs autres armes. Je lui avais avoué ce qui c'était passer en Californie et de ce que j'avais fait à mon "père". Il me regarda tristement, mais ne fit rien. Bon je crois que j'ai assez parlé de ma vie, le reste c'est à vous de le découvrir. »


[Ce passage peut contenir des scènes de violence, avis à tout ceux qui ne veuille pas lire le passage.]

Lunae referma son journal intime en prenant une grande respiration. Elle venait de ce remémoré son passé qui l'avait mené jusqu'à ce qu'elle était aujourd'hui. Elle n'avait certes pas honte de son passé et ne regrettait pas grand-chose. Elle n'avait même pas perdu contacte avec sa mère adoptive.

- Excuse moi, mais DÉTACHE MOI!!!!!!!!! Je fais quoi ici?! Je te regarde depuis plus d'une heure entrain d'écrire ton foutu journal! Cria un homme qui était attacher sur une chaise.

- Ha c'est vrai tu étais là toi. Répondit simplement Lunae

- Oui je suis là et je veux partir! Pourquoi je suis ici au juste? Je ne t'ai rien faite maudite folle!

- Ha ha ha ha, mais toi mon lapin tu n'es que tomber dans un piège et moi je vais m'amuser avec toi. ♥

Lunae prit un couteau et elle commença à faire de petite entaille sur les avant bras du jeune homme. Puis tout arrêta, Lunae décida de s'éloigner l'air songeuse. Elle cherchait comment elle allait le tuer. Une nouvelle méthode? Elle avait tendance à tuer tout de suite ces victimes avant de s'amuser à les découper en petit morceau. Mais aujourd'hui, elle voulait tenter une nouvelle tactique. Elle voulait le voir souffrir. Qu'il la supplie d'arrêter, qu'il ne lui ferait rien si elle le libérerait. Elle riait à cette simple pensé. Quelle situation amusante! Puis elle prit son journal intime et le lança dans le feu. Quand il commença à y avoir des flammes, elle frappa l'homme en plein visage. Puis elle laissa retomber son journal au sol sans même éteindre les flammes qui grossissaient. Lunae regarda autour d’elle pour chercher une nouvelle arme. Mais rien, il y avait que son couteau. Elle décida donc de le poignarder dans le ventre, Lunae ne sortit toutefois pas la lame du couteau. Elle s'amusa à aller vers le haut. Comme si elle essayait de couper de la viande dans une assiette. Le jeune homme pleurait de douleur, ce qui la fait rire. Quand elle enleva enfin la lame du couteau. Le sang coulait à flot. L'inconnu vomissait pratiquement son sang par la bouche. Le regard du jeune homme changea tout de suite. Mais il ne savait pas ce qu'il allait lui arriver. .

- Pourquoi ? Demanda l’inconnu, je ne t’ai jamais rien fait et je ne vous connais même pas…

- Parce que ta p'tite tête vaut de l’argent et que si je ne te tue pas, je n’aurais pas ma prime.

- Tu es une tueuse à gage ?

- Ça la prit du temps avant que tu t’en rendes compte ! Je ne tue pas pour le plaisir de tuer. Je tue pour avoir de l’argent. Rien de plus et rien de moins. Bon alors, je crois que j’ai une dernière chose à faire avec toi avant que je te tue. ♥

- Non pitié ne me tuer pas ! Je vous le jure, je ne dirai rien à personne. Mais laissé moi la vie sauve pitié.

Mais Lunae ne l’écouta pas, elle s’avança doucement, retirant son cache œil et le regarda droit dans les yeux. Elle s’amusa à lui faire voir une illusion de son crue. Elle lui montra ce qu’elle allait lui faire. Puis avec une extrême violence elle prit la tête du jeune homme et la pencha vers l’arrière. Il pleurait de peur, et cela paraissait sur son visage. Elle commença à lui faire quelque coupure sur le visage de l'inconnu. Dont une qui commença au coin de la joue gauche pour finir dans la chevelure du côté droit. Il n'arrêtait pas de la supplier de le laisser vivre. Mais elle ne voulait pas, c'était si amusant, si agréable de torturer ce jeune homme.
Plus tard, Lunae avait fini son crime. Il était enfin mort. Dans d’atroce souffrance... Elle résuma les coups qu'elle lui avait donnés. 42 coups de poignard dans le ventre. Plusieurs dans les cuisses, 28 fois elle lui avait égratigné le visage de l'homme dont elle ne connaissait même pas le nom avec un petit poignard. Il ne se ressemblait plus... Tellement qu'elle avait donné de coup de couteau à même le visage du jeune homme. Puis soudainement la porte cogna. Lunae se dépêcha d’aller entre ouvrir la porte.

- Oui ? Demanda-t-elle doucement en même temps d’essuyer une goûte de sang qui coulait sur son visage.

- Lunae tu t’es bien amuser à ce que je vois. Dit un homme habiller en noir portant un masque au visage.

- Oui, je peux avoir ma prime maintenant, j’ai tué l’homme qui te faisait chanter.

- Comme tu as mauvais caractère toi ! Tien ton argent ma belle. Mais maintenant va te changer d’accord ?

- C’est ça que j’allais faire ! Et ne m’appelle plus jamais «ma belle» d’accord ??!

- Ok, ok si tu insistes.

Quand tout ce circle fut terminer Lunae regarda au sol, son journal intime était devenu un petit ta de cendre.