D'une journée douce et chaude, j'étais allongée sur le gazon frais coupé. Je regardais les nuages passer en imaginant des bonshommes ou des animaux. Le paysage était si calme. Pas un bruit n'était entendu. Je me sentais si bien. Puis il fallut que mon réveille-matin me sorte de ma torpeur. Les yeux à moitié réveillés, je regardais l'heure qui était indiquée. Il était juste 7 h 45.... 7 h 45!!!! J'étais en retard pour une pratique de karaté ! C'était le quart de final pour la compétition ! Je me levai d'un cou, et je descendis rapidement les marches pour aller tout de suite à la cuisine pour déjeuner. Je mis ma toast dans la bouche et mis mes bas. J'avais l'impression d'être un bonhomme animé qui courrait tout partout avec le coin de toast dans la bouche. Cette image me fit rire. Quand je vis mon frère, je lui fis remarquer l'heure.
- Oh mon dieu! Ton entraînement! Je me dépêche rapidement! Compte sur moi! Cria-t-il en courant vers sa chambre.
Quand nous fîmes dans son auto, il me regarda étrangement. Je ne savais pas pourquoi, mais ce que je sais c'est que ça méritait beaucoup. Puis le temps passa et il continua de me fixer. Il regardait la route et puis moi. Pourquoi me regardait-il??? Puis je me fâchai tout d'un coup.
-Pourquoi me regardes-tu sans arrêt?? Ça m'énerve à la longue ! Arrrrffff!!!- Désolée, mais je n'arrive pas à croire que ma petite sœur va finir ses cours de karaté aussi vite ! En plus, j'ai eu le droit de te regarder, tu es si agile comme un chat ! Tu es si bonne.- Oh arrête! Je ne suis pas la meilleure et je ne suis pas aussi agile qu'un chat. Tu dis juste ça pour me calmer du stress que j'ai en ce moment. Puis je vais finir mes cours de karaté si je réussis aujourd'hui, sinon je n’irai pas en compétition et ma devoir recommencer mes cours de ceinture noire..... Maman et papa ne seront pas contents...- Mais tu ne t'es pas vu ? Je suis sûre que personne ne va vouloir te combattre! Et ne tant fait pas, je suis sur que tu vas réussir et les parents seront très fière de toi.
- Oui, mais ils ne sont jamais venu me voir comme toi tu l'as fait. Ils me félicitent seulement quand j'ai des bonnes notes. Mais je sais que papa me donne plus d'affection que maman. Elle veut que je sois indépendante....- Mais tu y arrives bien, et au sujet des parents on en reparler après promis? Je n'ai pas envie que tu es des idées noires pendant tes combats. - Tu as raison! Faut que je me ressaisisse! Il faut que je devienne forte! Comme maman!- La je te reconnais! Petite soeur que j'aime.- Moi aussi je t'aime frérot.La salle était pleine à craquer, il y avait plein de parent et de frère et sœur. Une chance que mon frère venait avec moi, sinon je serais seule. Mes parents n'aimaient pas venir avec moi.... Ils me disaient sans arrêt que je n'avais pas besoin d'eux pour gagner une ceinture. Il fallait que je devienne indépendante. Mais mon frère lui, répondait toujours qu'il devait avoir quelqu'un pour m'encourager dans les moments difficiles d'un combat. J'étais si heureuse. Puis le moment était venu, mon combat fut long, mais je gagnai la ceinture que je voulais.
- Bonjour tout le monde, dit soudainement le professeur de karaté
je vais vous parler aujourd'hui où sera situé la compétition de karaté. Mais avant, je voudrais dire bravo à tous mes élèves. Je suis fière de vous, mais pas qu'un peu. Vous démontrez l'honneur pour votre famille. Bon, revenons sur notre sujet. La compétition aura lieux au Canada, plus précisément au Québec, à Montréal. Vous avez le droit d'emmener un adulte avec vous. En fait, vous devez emmener un adulte avec vous. Il y a-t-il des questions ? - Oui, répondit un jeune homme,
est-ce que l'on peut choisir notre adversaire dans la compétition tout de suite? Où on va combattre avec les Canadiens? - Vous pouvez choisir un participant ou une participante de votre choix. Mais vous ferez seulement un combat ensemble. Pour la plus part des combats qu'il y aura lieux sera avec ceux du pays. Autre question ?
- Oui, dis-je, est-ce que je peux emmener mon frère pour la compétition ? - Mais bien sûr, il est majeur n'est-ce pas ? - Oui monsieur! - Alors, il n'y a aucun problème. Est-ce qu'il y a d'autres questions? Non ? Alors, continuons.
Puis le maître me fit signe d'aller le voir. Je me demandai ce que j'avais fait de mal. Je n'avais pas fait saigner quelqu'un aujourd'hui. Je le suivis dans son local qui n'était non pas loin d'où se tenait la réunion d'information de ce qui allait se passer à Montréal.
- Alice.... Je sais que ce n'est pas de mes affaires. Mais je voudrais savoir pourquoi tes parents ne viennent pas à tes compétitions. Ça en fait plus que 5 qu'il manque tes exploits... Mais je dois te féliciter pour ton endurance, ton agilité et aussi aujourd'hui tu n'a pas cassé de nez à aucun garçon. Il se mit à rire pour un petit instant avant de continuer. Mais je dois.... - Je n'ai pas de besoin de la présence de mes parents. Elle de mon frère suffit. Et je pourrais même y aller seule. Je n'ai besoin de personne pour avancer dans la vie.- Mais Alice, tu n'as que 14 ans, et tu penses pratiquement comme une adulte. Tu ne vas pas trop vite pour penser comme cela?- C'est mes parents qui mon élever de même je n'y peux rien. Mais je dois vous avouer que leur présence me manque.
-Ha j'oubliais! Raven ma demander de te demander si tu serais d'accord de te battre avec lui pour la compétition à Montréal.- Hummm? Il veut sûrement se venger d'aujourd'hui je l'ai battue à plat de couture!Quand je sortis du bureau du maître, Raven m'attendait. Il avait l'air un peu timide. C'est vrai, je ne l'avais jamais vu parler à une fille. Il me fit signe de le suivre. Mon frère lui, nous suivait de loin. Car il devait sûrement se demander qu'est-ce qui me voulait. Je me sentais mal à l'aise, car c'était aussi ma première fois, mise à part ma famille, que je discutais avec un garçon. Mise à part aussi à ceux que je m'amusais à caser leur nez avec un coup de pied après chaque pratique.
- Hummm Alice,commença-t-il,
je sais qu'on ne se connaît pas trop...- Pas du tout tu veux dire. Répliquai-je.
- Mouais, peux-tu me laisser finir s'il te plaie?- Oui, oui. Vas-y.- Tu as du caractère toi! Ha ha ha ha ha c'est la première fois que je voie une fille qui a du caractère.- Et c'est une mauvaise chose!? Tu aimerais que je fasse la groupie comme toutes les filles qui sont dans la sale au qu'elle que tu n'adresses même pas la parole? Désolée, mais tu as choisi la mauvaise fille pour penser que je pourrais faire ta groupie!-
Du calme! Je ne te demanderais jamais ça! Comme le maître a dû te le dire, j'aimerais te combattre à la compétition à Montréal. Alors tu es partante?-
Hum? Est-ce que tu veux rattraper ta défaite d'aujourd'hui? C'était très facile de te battre.- Grrr. Oui et non. Mais je sais que notre combat ne nous donnera pas de point. Alors, j'aurais pu choisir n'importe qui.- Mais tu as décidé de me choisir. Pourquoi? Tes groupies son pas heureuse??? Où elle ne te suffit pas?-
Parce que tu es agréable à regarder! Lâche-moi avec tes questions et donne-moi une réponse. S'il te plaie! Ha pis arrêt avec tes commentaires, tu m'énerves avec ça!- D'accord, d'accord!! Mais à une condition. Tu me laisses tranquille merci!- Pas de problème.- HAAAAAAAAAA LES FILLES IL EST LÀ!!!!! cria une troupe de groupies en chaleur.Quand je tournai mes talons, je me sentis si mal. J'aimais tellement pas ça parler à un garçon. Je devais toujours péter un câble.... Puis c'est vrai que Raven était super mignon, je comprenais toutes ses admiratrices. Puis je me dirigeai d'un pas sur vers les toilettes. Je fermai la porte à clé pour que personne ne me dérange. Je mouillai ma chevelure blanche, mon visage, puis j'allumai le séchoir pour les mains pour me sécher. Puis mon frères et moi nous nous dirigeâmes vers son auto pour retourner à la maison....
De retour chez moi, je me sentis décourager. Prévenir mon père que mon frère et moi allons dans son ancienne ville natale. Que devrais-je dire s’il me demande de venir avec moi pour ma compétition à Montréal ? Que j'ai déjà choisi mon frère pour y aller ? Qu'elle torture allais-je souffrir ? Je montai tout de suite dans ma chambre, l'air songeuse, mon frère détecta le mal qui rongeait en moi.
- Je sais que ça va être difficile de le dire au parent que tu vas avec moi à Montréal... Mais si tu veux, je peux t'assister, comme cela tu ne seras pas toute seule. - Merci Alex. - Il n'y a pas de quoi, ma soeur sœur d'amour. Le temps était venu d'aller annoncer la future bonne nouvelle. Mon cœur battait à tout rompe. Je ne m'entendais même plus penser. Je fis le saut quand mon frère mit sa main sur mon épaule. On descendit l'escalier lentement, pour me laisser le temps de trouver quoi dire. Je n'avais pas envie de voir le visage de mon père avec un soupçon de peine.... Je me sentais si mal en dedans de moi. Mais je fis mon indifférente.
- Maman, papa j'ai une bonne nouvelle à vous dire. - Oui ma chérie, dit-il en cœur.
- J'ai réussi ma ceinture noire, et j'ai réussi le premier quart de finale. Donc je m'en vais à Montréal avec Alex pour ma compétition. - Vu que je suis majeure cela devrait sûrement pas vous dérangez que j'y aille avec elle. Puis je regardais le visage surpris de mon père et de ma mère. Ma mère regarda comme moi la réaction de mon père. Il avait de l'air un peu nostalgique, son regard me fit de la peine. Car il était né à Montréal, il nous avait toujours dit que c'était un endroit qu'il voudrait y retourner en famille, pour qu'on puisse enfin rencontrer nos grands-parents. Je voulais tellement qu'il vienne avec nous. Puis une idée me vient.
- Il faut que j'aille téléphoner le maître ! Après de longues heures au téléphone, je fis un soupire de soulagement. Mon père et ma mère pourront venir avec moi et mon frère. Il y avait toute manière des billets en trop. Je me sentais si soulagée. Mon père me sera dans ses bras en guise de remerciement. Sa famille lui manquait énormément, mais je ne pouvais pas vraiment le comprendre. Puis en il regarda le téléphone et il appela mes grands-parents.
- Merci, me dit ma mère,
ton geste a été très honorable. Je voulais te dire que je sais que je ne suis pas la meilleure mère du monde que je ne donne pas vraiment mon attention sur toi et sur ton frère, mais c'est pour votre bien. Je sais qu'un jour ça sera très utile pour ton avenir. Je sais qu’être dépendante affective ça fait souffrir. Ça l'a été dure pour moi, parce que oui, je l'étais envers ton père, mes parents et amis (es). Elle essuya une larme qui s'était échappée de son œil. Pourras-tu un jour me comprendre ma chère fille? J'étais si surprise, que ma mère m'en dise autant. Elle qui était renfermée et qui ne disait jamais ses émotions venait de me dire en quelque mot les raisons pourquoi elle voulait que je sois indépendante. Elle me serra très fort dans mes bras. Elle savait que je ne savais quoi dire, parce qu'elle l'avait sûrement vu dans mon regard. Je versai comme ma mère une larme que j'essuyai rapidement avant que personne ne la voix. J'étais heureuse de savoir que ma mère m'aimait. Le doute avait disparu. Ça me soulagea et je pus faire le vide dans mon esprit.
Quand nous arrivâmes à l'aéroport, je fis émerveiller de la vue des avions. Il était si grand ! Puis j'attendis la voix de Raven derrière moi, je me retournai et je rougis. Je me retournai rapidement et au même moment je réalisai que ma mère avait tout vu la scène. Elle ria un petit cou quand je la regardai avec un doigt sur la bouche en signification qu'elle garde silence. C'était sur que je ne voulais pas que mon frère et mon père sachent quelque chose. Car mon père aurait fait son curieux et crié qui me fait rougir, mon frère aurait fait son frère protecteur. Comme la dernière fois.... Quand il me suivait derrière pour savoir ce que Raven voulait de moi.... C'était très gênant.....
- Alice ! Tu es là je te cherchais ! Cria Raven.
- Ah. Raven belle journée hein ? - Oui très belle. Mais je voulais savoir si c'était toujours O.K. pour le championnat ? - Oui, oui, mais est-ce que je peux rester en famille ? - Oh.... Oui...oui....désolé pour l'interruption. Quand je le vis tourner les talons, je me trouvai très idiote. Ma mère comme marque d'encouragement mit sa main sur mon épaule. Je la regarda puis soupira bruyamment. Je ne voulais pas qu'il pense que j'étais sa groupie secrète. Oui, il était beau et charmant, mais je voulais montrer à tout le monde que j'étais indépendante.
Quand je franchis le pied chez mes grands-parents, ma grand-mère me sauta dessus. Surprise, je la serrai dans mes bras. Mais quel phénomène étrange. Mes grands-parents avaient l'aire si jeune ! Quand la folie des retrouvailles se calma, nous nous dirigeâmes vers la cuisine. Ma grand-mère offrit à mon frère et moi un chocolat chaud, que je ne refusai pas. Il y avait tellement de questions. Mais toujours la même réponse de là pare de mes parents.
- Parlez-vous dans votre maison, japonais ou français ? demanda mon grand-père.
- Hummmm on discute plus en français qu'en japonais. Je veux que mon mari garde sa langue natale, et mes enfants je veux qu'ils soient trilingues comme nous, parce que oui il apprenne aussi l'anglais. Répondit ma mère avec un sourire que je n'avais jamais vu de ma vie. Il était si chaleureux.
- C'est bien correct, comme ça ils n'auront pas de misère à avancer dans la vie. Répliqua ma grand-mère après d'avoir prix une gorgée de son thé.
Puis je sortis de table pour aller au salon. Puis je vis Cricri, la chatte de ma grand-mère. Elle était timide d'habitude envers les invités, c'est ce que ma grand-mère m'a dit quand je lui ai demandé quand je suis arrivée. C'était facile de deviner qu'il y avait un animal. Avec un boule à chat et une litière devant la porte d'entrée. Je fus surprise de la voir à mes côtés. Elle me donna quelque coup de patte sur mon bras pour que j'aie toute son attention. Elle miaulait, pis miaulait, je fus si surprise de la comprendre, même si c'était vague...
*Masse...moi le dos, s'il vous plaie ça me gratte...... *- Oh tu veux que je te gratte le dos ? Demandai-je signe si j'avais bien comprit.
Elle se mit à ronronner en signe que j'avais bien compris. Je me suis mise à la flatter et elle me donna un bisou sur la main.
*Merci*, me dit dans ma tête Cricri.
- Mais de rien, Cricri. La situation était très étrange. Moi qui parlais et qui imaginais qu'un chat me parlait. C'était trop étrange pour moi. Est-ce que dans le thé de ma grand-mère avait des substances illicites????Je me sentis mal à l'aise quand je vis ma grand-mère arriver à l'improviste. Elle me regardait étrangement. Comme si j'étais bizarre. M'avait-elle écoutée en train de parler avec Cricri. Mais je me trompai sur toute la ligne. Elle ne me regardait pas, mais bien derrière moi. Que pouvait-elle voir dehors pour faire ces expressions-là? Elle se mit à dire fort.
- ÉCUREUIL !!!! Puis elle courut vers la fenêtre.
Je me suis mise à rire quand je l'ai vu se planter contre le divan avant d'atterrir derrière le fauteuil.... Ma grand-mère était en train de faire quoi ? On pouvait tellement l'imaginer avec une queue de chien. Elle était vraiment énergique pour une grand-mère.
- Oh mon dieu Ariel !!!! Qu'est-ce que tu fais derrière le divan ? Tu ne devais pas venir chercher une canne de sauce tomate ???? Cria presque mon grand-père.
- Mais c'est pas de ma faute, j'ai vu un écureuil pis j'ai trébuché sur le divan. Répliqua ma grand-mère sur un ton comme si on l'avait puni.
- Un écureuil ? Demanda ma mère,
vous avez fait se scénario pour un...écureuil... - Une sourie !! Criai-je en même temps du miaulement de Cricri.
Je me suis mise sans faire exprès à courir vers la sourie qui elle venait de nous apercevoir. Quand je réalisai ce que je venais de faire, et que tous les regards étaient tournés vers moi... Quelle honte!!!! Mais que m'arrivait-il ? Pourquoi m'étais-je précipitée vers une pauvre souris? Qu'on retrouva morte, sûrement à cause d'une crise cardiaque. Je me sentais si bête. Qu'est-ce qui m'avait prit ? Pourquoi à la vu de ce pauvre animale j'avais eu cette envie de lui sautée dessus et de jouer avec ? Hummmmm.... Il y avait quelque chose qui ne roulait pas rond chez moi. En espérant que cela ne m'arriverait pas dans la compétition.
- Alice tu veux jouer, tu veux jouer avec moiiii ???????? Me demanda très énergiquement ma grand-mère.
- Euh, grand-maman qu'est-ce qui t'arrive ? - Rien rien, il y a quelque chose qui.... Écureuil !!!!!!! - Il n'y a pas d'écureuil grand-maman..... - Ha oui, je viens de le voir partir.... - Aller Ariel viens avec moi, on va te resservir une tasse de thé. Demanda mon grand-père à ma grand-mère.
- Qu'elle bonne idée ! Tu en veux une ma chérie ? - Non merci, je vais aller m'entraîner. - Ho non ! Cria ma grand-mère,
il est hors de question que tu ailles t'entraîner quand je viens de vous retrouver toi et ta famille. Cela fait quand même 4 ans que je ne vous ai pas vu. Est-ce que j'ai le droit d'avoir au moins une journée complète avec mes petits enfants. - Oui, grand-maman, calme-toi. Je ne disais pas ça pour que tu te fâches. J'ai compris! Je vais rester. - YOUPIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Cria de nouveau ma grand-mère, mais quel âge avait-elle ????
- Ah, commença t'elle en me murmurant dans l'oreille,
si tu vois un écureuil, ne me le dit pas merciiiiii. - O.K........ Elle commença à me faire vraiment peur.....
J'avais si hâte que ma compétition finisse.....
Quelque semaines s'étaient écoulé depuis mon arrivée avec ma famille à Montréal. J'étais contente, même très heureuse, j'étais la première sur toutes les listes du championnat. Pis en plus, c'était bientôt mon anniversaire, bientôt 15 ans. Adieux les 14 ans! Ma grand-mère était si heureuse que mon anniversaire arrive bientôt pour qu'elle puisse me faire un gâteau maison. J'avais envie d'en manger tout de suite. Car ceux de ma mère finissaient toujours à la poubelle ( brûler....) et j'avais toujours un gâteau qui venait d'un super marché. N'empêche qu'il était succulent! Mais j'étais inquiète, je savais que chaque moment de bonheur pouvait arrêter soudainement. Je ne croyais pas au conte de fée, celle où l'histoire était parfaite. Dans la vie il y avait des drames, auquel que je n'étais préparée. Une chose est sûre, c'est si j'aurais su mon passé, je ne l’aurais changé pour rien au monde. Mais bon on s'éloigne de l'histoire, reprenons là où nous étions rendus.
La nuit de mon anniversaire, je fis un rêve si étrange. J'étais un chat et je courrais dans la maison. J'attrapai, une sourie, que je m'amusai avec elle elle mourut sûrement d'une crise cardiaque. Je la pris dans ma bouche, je me dégoûtais! Mais l'affaire que j'aimais c'était que je voyais si bien dans obscurité! Mais le réveil me dit paniquée. Aux lieux de mes mains, je vis une patte de chat au pelage blanche... Je pensai automatiquement que ma grand-mère avait un autre chat. Mais quand j'essayai de bouger mon bras, c'était la patte du chat qui bougea! Que m'arrivait-il!!?? Je fis un bond du lit pour me regarder dans le miroir. Je fis un de ses miaulements de terreur!! J'étais un chat! Un chat blanc avec le même bleu glacé que j'avais. Je me mis sur deux pattes et me je fis le tour. Par chance, j'étais dans la possibilité de marcher sur deux pattes! J'essayai de parler, mais juste des miaulements sortaient de ma bouche. Le stresse grandissait en moi, cette terreur de rester en chat pour toujours me stressait. J'étais un monstre! Un vrai! Aucun humain ne pouvait se transformer en chat! Il fallait que j'aille des informations. Qui étais-je? J,étais si perturbée! Comme maintenant pouvais-je savoir qui j'étais réellement! Un monstre, un seul et unique. Mes parents voudront sûrement plus de moi! Qui voudrait un monstre comme enfant! Je descendis à la hâte les escaliers. Je vis ma mère et lui cria:
*Maman!!! Maman tu m'entend??????*Mais aucune réaction, je vis le sol, sachant que c'était peut-être mon dernier essaie. J'écris
<> C'est là que je vis le visage si surpris de ma mère. Elle courut si vite vers la cuisine, que je croyais qu'elle s'enfouissait. J'en étais sûre. Ma mère ne m'aimait plus, quand j'attendis mon père arrivé criant qu'est-ce qui se passe, je su que mes parents allaient me jeter dehors.
- MAMAN!! Cria mon père,
Emmène ta texture!- J'arrive!! Oh mon dieu ma pauvre petite pupuce! Cria ma grand-mère,
Il va falloir lui dire la vérité, je vois que vous avez oublié de lui mentionner! Mais vous saviez qu'à son 15e anniversaire elle aurait une situation du genre! Quand je bus la mixture dégueulasse, en moins de 15 minutes je me transformai en humaine. Merci mon dieu! Me je fus prise de colère tout de suite, ce que j'avais entendu pendant que j'étais une chatte m'avait mise hors de moi. Comment mes propres parents m'avaient caché une chose pareille! Ils savaient qu'une situation pouvait m'arriver!! Et ils n'ont même pas eux la moindre gentillesse de me mettre au courant que j'étais un monstre ambulant!
- Alice, je sais que tu es fâchée contre moi et ta mère, et tu as raison. Nous t'avions cacher un secret qui était peut-être difficile à digérer. Mais on sait qu'on aurions du faire ça. Pardonne-nous, je vais t'expliquer. Mais une chose est sûre, tu n'es pas un monstre.....- Ha oui, je ne suis pas un monstre, c'est tout à fait normale selon toi que je puisse me transformer en chat! Explique-moi bien clairement comment je vais gober ça moi! Ma vie est fichue! Comment je vais faire pour vivre avec ça. Je vais me soulager que j'ai des pouvoirs magiques que je n'avais même pas conscience avant aujourd'hui! Comment avez-vous pu me cacher une chose aussi importante! Pourquoi, pourquoi?!! Moi je sais, vous aviez honte de mettre un monstre! Alors......- Ça suffit!! Cria ma grand-mère,
je ne veux pas de chicane dans ma maison! On vous entend dans toute la maison! Je vais t'expliquer bien clairement le secret familiale. Mais avant nous allons dans le petit salon déguster une bonne tasse de thé pour nous calmer. Est-ce bien clair, où il faut que je me répète Alice?
- D'accord. Dis-je sous un ton d'impuissance. Maintenant je savais de qui je retenais mon comportement.
- Bon, commença ma grand-mère avec sa tasse de thé dans la main.
Tu t'es sûrement demandé qu'elle âge que j'avais avec mon comportement. Oui je suis comme toi, comme tout le monde dans la maison. Nous sommes des mutants libres. Et tu dois garder ça secret. Aucun humain ne connaît nos pouvoirs. Comme tu l'as sûrement remarqué aussi, j'ai un comportement de chien. Et oui je suis capable de me transformer en chienne. Mes des fois c'est plus fort que moi, c'est si rajeunissant l'esprit du chien. Mais ne croit pas que tes parents ne son pas comme toi, ta mère elle contrôle le feu, ton père contrôle l'énergie et ton frère lui l'eau. Toi par exemple tu retiens de ton arrière grand-mère, qui était ma mère, elle aussi, se transformait en félin, mais pas seulement un. Et je suis sûre qu'un jour tu seras capable. Mais ne soit pas en colère contre tes parents, ils ont fait sa pour ton bien. Je t'en pris Alice.
- Comment je peux rester fâcher quand tu me le demandes aussi gentiment. Quelque mois après la situation, j'avais été la grande gagnante de la compétition. Ma grand-mère me manquait et oui, ma famille et moi étions retournées vivre au Japon. Raven lui, m'avait invité à aller prendre un morceau. Il avait réussi là où plusieurs garçons avaient échoué à faire tomber mon mur pour laisser place à une jeune fille épanouie. Mon frère n'était pas content que je fréquente un garçon auquel il n'avait pas confiance. Il pensait qu'il allait me rendre malheureuse. Dans un sens il avait raison. Durant une de nos sortis du mardi soir, on avait décidé d'aller dans un super marcher pour aller chercher des bonbons pour notre film. Qu'on n’est jamais allé voir. Il y a eu un hold-up. Les souvenirs son vague... très vague... Je me rappelle juste qu'un moment donné j'étais la prisonnière du bandit, je sentais le fusil sur ma tempe droite, mes larmes qui coulaient à toute allure sur mes joues. Mes petits crient de pitié pour rester en vie, ne me faites pas de mal. Je n'ai pas envie de mourir.... mourir.... Raven essaya une tentative de karaté, mais il fut atteint par une balle... Les larmes m'embrouillaient la vue... Ce n'était pas possible, non, pas l'homme que j'ai aimé en secret depuis tant d'années. Non c'était un rêve, il fallait que je me réveille! Il ne pouvait pas me laisser seule dans ce monde si cruel et si froid. Il n'avait pas le droit de se vider de son sang.
- Raven, ne ferme pas les yeux. Regarde-moi! Je t'en pris laisse moi pas toute seule, je t'en pris mon amour. Je t'aime depuis tellement longtemps, ne me laisse pas. Je t'en pris Raven, regarde moi!!!!! Nooonn ne ferme pas les yeux. RAVENNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Crai-je en essayant d'arrêter l'hémorragie.
- Alice.....Je....- Ne parle pas, mon amour, je tant pris garde tes forces, garde-les pour rester en vie. - Alice....moi aussi... je t'ai aimé depuis si long...temps.... si long...temps..... je..t'ai..me ma dou..ce....fleur...- Raven moi aussi je t'aime, je ne voyais plus rien ma vision était si embrouiller par les larmes qui coulaient, Ravens je tant pris regarde moi, bat toi, comme notre matche au championnat. Tu te rappelles??Raven....Raven...NAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! RAVEEEEEEEEEEEEEEENNNNNN!!!!!!!!! NOOONNN!!!!!!!!!!Je mis ma tête sur le torse rougi par le sang de Raven, je ne pouvais pas arrêter de pleurer, tout le monde essaya de m'enlever à lui, puis je sus que le voleur se suicida, car nous attendit un deuxième coup de feu.... Je ne voulais pas rester en vie... Non... sans Raven je n'étais rien......rien...... j'étais si seule....si seule.....
Quand la police me conduit à l'hôpital, ce ne fut pas long avant que ma famille arrivât à ma salle. Allongé sur le lit, sans émotion. Des yeux luisants qui regardait le même point depuis si longtemps.....
Ma mère me prit dans ses bras, mon frère criait mon nom, il n’y avait pour ma part aucune réaction...aucune..... Mais je finis pas craquée, criant le nom de Raven, pleurant toutes les larmes de mon corps. Je serrai ma mère si fort. Comme ma mère l'avait souhaité, j'étais devenue indépendante. Pas dans la bonne méthode. Le deuil, se sentiment de vide en soit, qui ne peut être comblé, se sentiment si seul. Quand on imagine qu'on ne pourra même plus caresser et dire je t'aime à la personne qu'on croyait avoir pour un moment infini.... Je ne pourrai plus jamais toucher les cheveux de Raven, plus jamais l'embrasser, plus jamais entendre le je t'aime qui me susurrait à l'oreille quand il me serrait dans ses bras. Pourquoi se super marché, pourquoi lui.... Pourquoi avions décidé à la dernière minute que des bonbons serait plus utiles dans notre mardi soir? Je ne pouvais plus rien faire............
Quelque mois passa si vite..... Mes amis(es) restaient souvent avec moi. Peur de ce que je pouvais encore penser. J'allais mieux.....allais-je vraiment mieux.?....Est-ce possible???
J'appris en soirée que mon frère allait partir en voyage pour une période indéterminée. Il voulait voir le monde. Je courus vers sa chambre, pas encore une épreuve, pas encore qu'une personne qui m'avait soutenue pendant tous ses mois difficiles allait m'abandonner? Non, je ne voulais pas.... C'était égoïste de ma part, mais j'avais besoin de lui, mon frère....
-
Alex ne me dit pas que c'est vrai.... Tu ne vas pas partir demain? Tu ne peux pas! Je t'en pris frérot.... ne me laisse pas... pas toi aussi....non je t'en pris.... non...... je fondis en larme, et il me serra si fort que je gloussai.
- Je suis désolée Alice, j'ai aussi une vie à créer. Mais non je partirai pas demain...Le lendemain, mon frère pis moi décidâmes de faire une promenade, nous décidâmes également aller à l’endroit ou qu'on allait tout jeune. La nuit tombée je dormis dans la chambre de mon frère. Quand je me réveillai, je vis sur le coin du bureau une lettre qui m'était destinée.
«Alice, ma chère soeur,
Ne m'en veut pas, je suis partie durant la nuit pendant que tu dormais si paisiblement, mais était ce un rêve ou de vieux souvenir qui montait de loin? Ce sourire si doux, que tu as, c'était la première fois en plusieurs longs mois que je ne l'avais pas vu. Je me sens égoïste de partir pendant que tu as plus besoin de moi. Mais j'avais besoin de m’évadé, de changer d'air. Tu comprends? Je voulais pouvoir voler de mes propres ailes. Je m'en veux, tu ne sais, pas comment. Mais un jour je suis sûre que tu comprendras. Les parents seront toujours là pour toi, ne laissent personne tomber. Car moi je ne le fais pas, je t'écrirais chaque mois. Je t'en fais la promesse. Mais j'ai aussi besoin de découvrir où que papa est né. Je t'en prix ne pleure pas.
Je t'aime,
Alex.»3 ans c'était écouler depuis les moments tragiques. J'avais pardonné mon frère. Mes parents étaient toujours amoureux, et mon père allait avec ma mère chaque été voir mes grands-parents. J'avais grandi,un peu. Mes cheveux blancs étaient toujours aussi longs. Mes yeux d'un bleu si pâle, eux, étaient devenus glaciaux. J'avais continué les activités de sport étude. J'avais décidé d'aller à New York, il y avait des combats de plusieurs sortes. J'avais appris avec le temps que les blessures qui son infliger guérisse plus vite que celle mentale. Avec le temps, je craignais d'aimer. J'étais seule et c'était mieux ainsi. Aucun autre homme ne réussira à entrer dans ma vie. Mon deuil avait été long, mais j'avais réussi à le surmonter. Puis, je me rappelai que j'avais le don de me transformer en félin je décidai de me transformer en chat, avant j'avais pas de difficulté, le pouvoir restait dans une période de 5 a 20 minutes.... Mais là, le destin avait choisi une tout autre histoire. Je restai pogner en chat.... Je sautai de ma fenêtre et alla me promener dans la rue durant une forte averse. Qu'est-ce qui allait m'arriver de pire maintenant!?
À Suivre....