X-Men : Sentinel Project
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 Alexander au pays des Yankees

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MessageSujet: Alexander au pays des Yankees   Alexander au pays des Yankees Icon_minitime1Lun 18 Nov 2013 - 0:31

L’avion, le pire endroit du monde. Les films sont horribles, la nourriture, il n’oserait même pas en donner à son chien Winston et en plus on y est placé comme une sardine. Enfin ça c’est si on a la malchance d’être dans la classe économique. Le MI6 a un bon budget et par chance, Alexander pouvait en bénéficier aisément. Il était en train de dormir confortablement sur son siège ultra confortable. Pas qu’il avait besoin particulièrement de sommeil, c’est que même dans la classe affaire, il n’aimait pas particulièrement l’avion. Surtout qu’on lui avait bien mentionné qu’il allait rester à New York pour un moment pour collaborer avec le S.H.I.E.L.D. C’était un groupe chapoté par l’ONU afin de surveiller et mettre hors d’état de nuire les groupes criminels mutants. Ce qui allait sans dire que ça allait plutôt bien avec le mandat du groupe X du MI6.

Il n’avait pas particulièrement d’attente par rapport avec qui il travaillerait. À la base, il préfère travailler seul et ce depuis le Moyen Orient. Enfin bon, s’il doit le faire pour le Royaume Unis, pourquoi pas? Après tout, cette organisation a plutôt bonne réputation pour une organisation Yankee. Petit irritant pour lui, les organisations secrètes Yankees sont prêtes à jouer avec n’importe quel débile si ça leur donne un intérêt particulier. Étant membre des 00, avant d’être un X, il avait carte blanche. Parfois pour protéger le pays, il n’y avait pas de choix à faire, on ne peut pas tout révéler. Même que l’on doit très souvent jouer en dehors du droit international. Une ligne que, il le craint, une organisation soumises aux rêveurs de l’ONU ne peut franchir.

On annonça enfin que l’avion est sur le point d’atterrir. Il boucla sa ceinture alors que l’appareil amorçait sa décente. Il voyait de son hublot la piste se rapprocher de plus en plus. De loin, il voyait la statue de la liberté. Il se souvint d’un rappel qu’on lui avait fait. Les américains adorent rappeler aux britanniques comment ils les ont battu à la fin du 18e siècle. Un truc qu’il avait remarqué quand il travaillait avec des membres de la CIA. Il devint allergique aux Yankees depuis cette histoire en république Tchèque. Ce qui eut pour effet de renforcer sa propension à se méfier de tous partenaires potentiels. Travailler seul a plusieurs avantages qu'il est franchement inutile d’énumérer. Évidemment, c’est bien d’avoir quelqu’un pour couvrir ses arrières mais c’est un peu embêtant dans le domaine de l’espionnage quand celui qui devait te couvrir devient un « turncoat ». Pour vivre vieux dans ce métier, il vaut mieux se fier à soi, son entraînement et être le plus loyal possible. Bien que la guerre froide soit terminée depuis longtemps, les gouvernements ont trouvé des moyens plus sophistiqués de se débarrasser d’un agent indésirable.

Cette journée là il portait un complet trois pièces noir, avec une chemise blanche et une cravate rouge. En sortant de l’avion, il se rendit où il devait aller pour prendre ses bagages et partit vers le restaurant de l’aéroport. C’était là qu’il avait rendez vous avec son contact. On lui avait donné peu d’information sur lui. Une fois assis à une table, il commanda un earl grey. Un thé noir avec un jus de bergamote. Il n’avait jamais compris cette engouement pour le café, c’est amer, ça sent mauvais et en plus ça a un paquet d’effets secondaires indésirables. En attendant sa commande, il ajusta sa montre à l’heure locale et commença à lire le New York Times. Le gros titre lui donna l'impression qu'il allait avoir bientôt le mal du pays.

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Eleonnora S. Davidoff

Eleonnora S. Davidoff

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MessageSujet: Re: Alexander au pays des Yankees   Alexander au pays des Yankees Icon_minitime1Lun 18 Nov 2013 - 22:34

Eleonnora courait partout dans son loft afin de trouver ses vêtements. Elle se souvenait avoir envoyé ses tailleurs chez le pressing, mais elle ne savait plus où elle les avait laissés, par la suite. Elle tomba finalement dessus, rangés dans sa gigantesque garde-robe. Evelynn les avaient probablement accrochés à l’une des pôles, avec toutes ses tenues de travail. C’était une délicate attention de sa part. La jeune femme attrapa l’un de ses habits, puis se changea à la vitesse de l’éclair. Elle savait qu’elle n’aurait pas dû accepter de sortir, la veille, avec un ami de longue date. Elle s’était réveillée en retard, ce matin. Elle n’avait pas le temps de déjeuner, elle venait de prendre une douche d’une dizaine de minutes, ce qui était un véritable exploit pour elle, et elle n’aura probablement pas le temps de se faire une beauté.

Après avoir enfilée sa tenue, elle se regarda dans le miroir. Aujourd’hui, elle avait opté pour une chemise blanche, bien rentrée dans sa jupe noire qui descendait jusqu’à ses genoux, mettant ainsi ses longues jambes en valeur. Fendue sur le côté droit, elle lui facilitait ses déplacements du haut de ses escarpins à talons aiguilles. La jeune femme brossa rapidement sa longue chevelure dorée, qu’elle laissa tomber en de jolies mèches ondulées sur ses épaules. Enfilant son veston noir et attrapa son sac à main, Eleonnora quitta son loft à toute vitesse. Elle allait être en retard si elle trainait davantage.

Une fois dans sa voiture, elle se dirigea vers l’aéroport de New-York. Elle devait y rencontrer un agent du MI6 qui allait collaborer avec le S.H.I.E.L.D. pendant quelques temps. Comme à son habitude, Eleonnora souhaitait avoir une apparence irréprochable. Lorsqu’elle était stoppée à un feu rouge, elle s’affairait à maquiller légèrement ses magnifiques yeux bleus. Elle n’avait pas besoin d’artifice pour être belle, mais sans un peu de fard sur ses yeux et de rouge sur ses lèvres, elle avait l’impression d’être nue.

Une fois à l’aéroport, Eleonnora trouva un endroit où se garer. Elle observa son reflet dans le rétroviseur de sa voiture et replaça quelques mèches blondes avant de se rendre au lieu de son rendez-vous. Un délicat sac à main - contenant son portefeuille, son téléphone du maquillage et autres trucs inutiles, mais surtout son arme de service - posé sur son épaule, elle avançait d’un bon pas, la tête haute. Elle savait où elle devait se rendre afin de rencontrer l’agent du MI6. Il se nommait Alexander, si elle se souvenait bien.

Une fois arrivée à un petit restaurant de l’aéroport, la jeune femme ralentit le pas, observa les gens présents. Elle repéra l’homme qu’elle cherchait, mais le fixa quelques secondes de plus afin d’en être certaine. Ses supérieurs avaient eu la brillante idée de lui montrer une photographie de lui, tout en lui donnant les détails concernant le lieu de leur rencontre. Eleonnora s’avança doucement vers la table où était assis Alexander. Elle s’arrêta près de lui, se tenant naturellement droite devant lui. Il était en train de lire le journal, elle le dérangeait probablement dans sa lecture, mais elle s’en fichait.


-« Monsieur Lockhart ? Je suis Eleonnora Davidoff. Ravie de vous rencontrer. Je vous accompagnerais aujourd’hui et me chargerais de vous faire visiter les bureaux de notre entreprise. »

Lui servant un magnifique sourire, elle lui tendait la main. La jeune femme avait toujours eut une forte poigne, ce qui surprenait les hommes, en général. Lorsqu’elle s’était adressé à Alexander, elle avait fait en sorte de ne pas l’appeler « agent Lockhart », afin de rester discret. Il en était de même lorsqu’elle parlait du S.H.I.E.L.D.. Elle souhaitait éviter que des oreilles indiscrètes soient à l’écoute de leur conversation et entendent des choses dont elles ne devraient pas être au courant. Elle espérait que l’agent Lockhart n’ait aucun mal à comprendre la manœuvre. Ils se devaient de rester discrets. Une fois qu’ils auront  regagné la voiture d’Eleonnora, ils pourront parler bien plus librement.

Sans demander la permission, Eleonnora prit place à la table, face à lui. Elle déposa son sac à main à ses pieds, puis commanda un café latté à la serveuse qui venait de déposer la consommation d’Alexander sur la table. Croisant les jambes, la jeune femme porta son attention sur l’agent devant elle. Heureusement qu’elle était douée pour socialiser et meubler des conversations, car dans ce genre de situation, elle ne savait pas toujours quoi dire à son interlocuteur. Elle n’allait certainement pas lui raconter sa vie, après tout. Elle se contenta donc de banalités, pour l’instant.


-« J’espère que vous avez fait un bon voyage. »
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