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 |  Sujet: Jaroslav, la pire chiure de l'histoire humaine.  Mer 27 Fév 2013 - 4:45 | |
| Jaroslav.
♣ • Identité • ♣
•Nom : J’en ai tellement … Actuellement, je m’appelle Nikolaivetchichkovski. J’ai choisi moi-même, ça sonne plutôt bien non ?
•Prénom : J’en ai un bon paquet aussi, mais je me fais appeler Jaroslav ces derniers temps.
•Pseudonyme/Surnom : Le casse-couilles est mon appellation la plus courante. Surtout du côté des yautjas, où je suis fiché.
•Sexe : Récemment coupé, vivement la prochaine mort, qu’il repousse.
•Race : Mutant. (Alpha ... Enfin, plutôt hors-catégorie ...). J'ai essayé de me faire passer pour un dieu, tout le monde ne m'a pas cru ...
•Age : Physiquement, 16 ans. Sinon, 2099 ans. Je vais vers mon vingt-et-unième centenaire !
•Date de Naissance : 86 avant JC, Capoue, Empire romain.
•Famille : Elle m’a renié plus de deux millénaires auparavant.
•Nationalité : Romain ! Enfin, si vous me demandez aujourd’hui j’aurais tendance à répondre Russe !
•Métier : Etudiant spécialisé en langues étrangères. Ne va qu’aux examens.
•Groupe : Mutants libres.
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♦ • Pouvoir et Capacités de combat • ♦
•Pouvoir : Régénération cellulaire en cas de décès, on peut aussi appeler ça de l’Immortalité.
•Description :
Lorsque Jaroslav meurt, ses cellules se multiplient et le reforme entièrement de sorte qu’il ressuscite comme il était à l’origine, du moment qu’il reste un groupe cellulaire quelconque de lui.
Cependant, cette régénération n’est pas automatique et prend du temps. Pour donner un ordre d’idée, une lame en plein cœur mettra vingt minutes à se résorber. Si on le brûle il lui faudra au minimum une semaine, selon ce qu’il reste. Si on le découpe en morceau il n’y aura qu’une partie de lui qui se reconstruira, laissant les autres membres pourrir normalement, mais il lui faudra alors environ une semaine également. Ceci est à titre d’exemple, les différents traitements qu’on pourrait imaginer se répare différemment en termes de temps. Notez tout de même que c’est différent de la régénération instantanée : du moment que Jaroslav n’est pas mort, il ne peut pas se soigner ! Si on lui coupe un bout de quelque chose et qu’il survit, il ne repoussera pas avant sa résurrection !
Son immortalité provient du fait que lorsqu’il meurt de vieillesse, il ressuscite également et récupère des organes valables. Il meurt donc à peu près tous les soixante ans de vieillesse, et revient deux jours après …
Notons que son corps ne vieillit pas : son activité cellulaire étant particulièrement grande, tous les composants de son corps ne fonctionnent pas de la même manière. Ce qui vieillit chez lui, c’est plutôt son cerveau et son système nerveux.
D’autre part, cette activité cellulaire anormale a tendance à le tuer sans prévenir par des crises cardiaques, ou des crises d’épilepsie. Il ne maitrise pas du tout ces morts accidentelles et occasionnelles et elles peuvent survenir absolument n’importe quand, le laissant pour mort durant des périodes variant entre cinq minutes et deux heures, en règle générale, même si ça peut durer un peu plus longtemps.
Vous me direz, il n’a aucun point faible ! Mais ce n’est pas tout à fait vrai. Il est immortel, mais n’échappe pas à toutes les autres lois humaines. L’enfermer dans un cercueil qu’on enterre, ou bien l’enfermer tout court, par exemple, le condamne à rester en vie sans pouvoir sortir, et à mourir de faim ou de soif tous les trois jours environ.
On peut aussi, par exemple, le balancer au fond de l’océan pacifique (ou moins grand, hein) : il se noiera, coulera, et ne pourra jamais remonter sans se noyer de nouveau. Ce serait mourir et revivre pour l’éternité, en boucle.
Voilà, ce sont des exemples, il existe sans doute d’autres manières de lui trouver des points faibles, même si ce n’est jamais complètement définitif !
•Maitrise : Tout est passif !
•Art Martial : Aucun, c'est plutôt un tocard, dans le fond.
•Équipement : Mis à part ses vêtements et ses papiers, juste son cellulaire et une bague particulièrement vieille, avec des hiéroglyphes dessus. Il a aussi un mouchard relié au GPS d’un esclave à lui : John.
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♠ • Apparence • ♠
•Description Physique : Pour faire simple, clair, précis et concis : une tête de con. Tout en Jaro’ inspire l’envie de lui coller une bonne droite. C’est un personnage profondément antipathique pour tous ceux qui croisent sa route, de par sa simple apparence.
Bon, à l’origine, on l’a doté d’un corps tout à fait banal. Il pourrait avoir l’air d’un adolescent de seize ans comme un autre. Rien ne semble le rendre bien différent. Cheveux noirs, courts sans être rasés, des yeux d’une couleur jaunâtre un peu étranges, mais pas forcément repoussants. Une taille plutôt petite pour un garçon, sans être naine. Ni surpoids, ni anorexie. Non, vraiment, si on s’en tient à une pure description de ses caractéristiques morphologiques, il est tout ce qu’il y a de plus normal. Un jeune homme comme on pourrait en croiser dans chaque rue du globe …
Seulement voilà. Il n’est pas uniquement cela. Il ne marche pas, il se pavane. Il ne regarde pas les autres, il se moque d’eux. Des yeux rieurs, insultants de par le seul fait de se poser sur quelqu’un. On devine son ironie, son cynisme, son mépris d’autrui simplement en croisant ses mirettes. Sa bouche, également, est très expressive. Des rictus, des grimaces, par centaines de milliers : il connaît chaque facette de l’art de montrer à l’autre qu’il le prend catégoriquement pour une sous-merde. La manière de tirer la langue, ou de la bouger de façon provocante. Et encore, ses mimiques ne se limitent pas à l’expression de son visage : dans le vulgaire, le grossier et l’insultant, il a atteint le summum possible d’expression corporelle ! Je ne vous ferais pas de dessins libidineux de ce qu’il peut exprimer par des gestes, de façon forcément énervante, à tout un chacun … Mais ça marche systématiquement ! Il sait y faire, de ce côté-là.
En somme, seules les personnes possédant un self-control ou un mauvais goût extraordinairement prononcés supporteront la vue de cette abjecte aliénation des valeurs humaines.
•Signe Particulier : C'est une tête à claques.
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♣ • Mental • ♣
•Psychologie : Outre de fâcheuses manies, comme cracher sur les gens, leur montrer ses fesses avec un rire provocateur, ou bien encore uriner à leurs pieds … Il a un caractère qui en fait quelqu’un de tout bonnement infréquentable. On comprend rapidement pourquoi ses parents l’ont très vite renié. Ce n’est pas qu’il se fiche des autres, bien au contraire. C’est qu’il se nourrit de leur énervement, de l’effet qu’il provoque chez eux : sentir l’agacement monter chez la personne qu’il emmerde, c’est quelque chose de poignant pour Jaro’. Cela lui donne l’impression d’exercer quelque chose sur lui. En quelque sorte, de maîtriser la personne qu’il insulte, de le pousser à révéler son véritable lui-même. Et aussi, ça l’amuse énormément, de piétiner la fierté sans aucune retenue, ni sans aucune punition ! Après tout, il peut se permettre absolument n’importe quoi, puisqu’il ne peut pas mourir ! Et puis, au fil des années, la souffrance est devenue beaucoup plus facile à supporter, simplement parce qu’il sait pertinemment que jamais la mort ne s’ensuivra. La disparition totale de la peur de mourir a fait de Jaroslav quelqu’un de répugnant, qui ne mesure pas du tout la conséquence de ses actes et a décidé d’avoir comme but, dans la vie, de pourrir l’existence des autres.
Au départ, provoquer était chez lui une manière de se faire remarquer de ses parents, par rapport à sa fratrie. Il a donc un jour eu des leviers qui lui auraient permis de changer. Seulement, dès lors que tout le monde a commencé à le rejeter, puis à la découverte de son pouvoir … Ce n’était simplement plus la peine d’espérer quoi que ce soit. D’ailleurs, c’est à se demander, aujourd’hui, s’il conserve quelque chose, au fond de cette carapace faites de moqueries et d’envie irrépressible de faire mal émotionnellement à autrui. De faire ce qui lui plaît quitte à piétiner toute la stabilité émotionnelle de quelqu’un d’autre.
Au fur et à mesure des années, il a compris le poids que ses actes avaient sur la stabilité émotionnelle passagère des autres, et combien il pouvait la modifier rien que par une insulte, une pique, ou bien une bourrade.
Sa grande spécialité reste le harcèlement psychologique : il aime se faire tuer, pour le plaisir de revenir encore et encore hanter la personne, et déchaîner un peu plus à chaque visite la bête enfouie en chaque être humain. D’abord, une balle dans la tête. Puis, le corps coupé en morceau. Enfin, essayer de le brûler … Puis ne plus avoir d’idées, perdre parfois la raison, tout est bon dans cette approche de l’enquiquinement mental ! Il peut aussi se faire passer pour un fantôme auprès des personnes assez fragiles ou qui sont susceptibles de regretter leur acte …
Un autre mode opératoire qu’il affectionne : s’en prendre à la famille, aux proches perdus, de chercher la faille dans l’armure de chacun. Ta petite sœur est morte étranglée ? Ta mère s’est faite trouée par dix coups de couteau à cause de ton père ? Tu es handicapé des jambes ? Parfait, alors trouvons les vannes les plus cruelles et les plus sadiques qui soient, concernant ces faits-là ! C’est encore le moyen le plus sûr de pousser quelqu’un à bout, non ?
Et puis, quand il a envie, Jaro’ peut aussi se permettre de petits extras. Pousser quelqu’un au suicide, par exemple. De toute manière, si jamais il se faisait emprisonner, il suffirait qu’il se suicide lui-même afin d’être envoyé à la morgue non ? Et dans son dossier, c’est coché qu’il veut être incinéré !
Et hop, une semaine après, la vie continuera de plus belle. Avec ce maudit pouvoir d’immortalité dont il ne peut pas se détacher … Car oui, Jaro’ ne se considère plus tellement comme chanceux de posséder une telle capacité. Il en rit aux éclats, en profite pour être la pire des ordures. Mais au fond, il est à nouveau le vilain petit canard de l’histoire, tout comme lorsqu’il était petit. Comme il l’a toujours été, d’ailleurs. Et avec un tel rôle, il ne peut que se faire remarquer en mal …
Connard par nécessité. Ou pas.
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♦ • Histoire • ♦
•Capacités : Quelques capacités linguistiques : il a pas mal vagabondé et connait beaucoup de langages, morts ou vivants. En-dehors de tout ça, c’est un incapable.
•Situation : Il a une identité légale et un passeport russe, vit dans un appartement aux Etats-Unis. Orphelin, émancipé pour pouvoir suivre des études, il bénéficie de pas mal d’aides sociales, dont il profite gravement.
•Passé :
La longue épopée de Jaroslav prend racine avant même l’Antiquité, en -86 avant Jésus-Christ, au sein du glorieux empire romain. De naissance, il se nommait Magnus Aelicus Macula. Pour ses amis, c’était surtout Aelicus. Petit dernier non-désiré d’une famille comptant déjà quatre enfants, il n’a jamais été à la hauteur de ce que désiraient ses parents. Et pour combler ce vide affectif et ce manque d’attention, il a toujours été le plus emmerdant des fils de Rome. Jadis, son humanité était encore présente, et il arrivait encore à faire semblant, à se faire apprécier de quelques rares personnes. En se faisant plaindre. En attirant l’attention. Ou en utilisant des substances illicites qu’il trouvait à droite ou à gauche.
C’est à l’âge de seize ans qu’il est mort pour la première fois. Malgré ses diverses plaisanteries, toutes plus enquiquinantes les unes que les autres, il a, à cet âge, atteint le sommet, en couchant avec la copine de son frère le plus jeune. Celui-ci lui a fait payé le prix du sang à l’insu de ses parents … qui ont retrouvé le benjamin de la famille au poste de garde, arrêté pour exhibitionnisme ! En effet, plutôt que d’être retrouvé mort et nu dans un caniveau, il s’était tout simplement relevé, et était allègrement allé se promener dans les rues de Capoue, sa ville de naissance.
La découverte de sa capacité de renaître a été le déclencheur de toute sa personnalité, et ce qui a fait que Jaro’ est devenu celui qu’il est aujourd’hui. Il ne voyait plus aucune limites à ses agissements et pouvait donc faire comme il l’entendait ! Enfin, enfin il allait pouvoir tout oser pour se faire remarquer !
C’est avec son plus jeune frère qu’il a commencé son entreprise d’auto-démolition de sa stabilité mentale. Déjà, le voir revenu, totalement vivant, avait été un choc. Mais dès lors, il n’a cessé de le harceler de mille et un détails concernant sa très agréable nuit en compagnie de sa fiancée. Je vous passerais d’ailleurs les divers commentaires sur le bien-être qu’il avait éprouvé entre ses cuisses, et dont il se servait pour agacer son frère au plus haut point … Et finalement, il l’a à nouveau tué … Pour le voir revenir une semaine après, tout content et tout souriant !
Au final de ce harcèlement moral, son frère est devenu fou à lier et a fini par se jeter du haut d’une falaise, sans que personne ne l’aide.
C’est à ce moment-là qu’Aelicus a disparu de Capoue, partant pour vivre de grandes aventures !
Et c'est lors d'une annonce publique sur la place du grand Rome qu'elle reprend. De toute évidence, Jules avait une grande nouvelle à déclamer au peuple. Ce n'était pas qu'Aelicus n'avait strictement aucune envie de l'entendre, mais il préféra prendre la parole en premier. Et c'est ainsi qu'alors que l'Empereur ouvrait la bouche on entendit une petite voix crier :
« César il a un petit zizi ! »
Ce fut l'étonnement, parmi la foule aussi bien que sur l'estrade où se trouvait César et sa garde personnelle. La plèbe se creusa d'ailleurs à l'endroit d'où venait la pique, s'écartant du chemin d'un tout jeune garçon. Les mains dans sa toge, celui-ci regardait César avec insolence.
« On ne te l'a jamais dit ? Si on choisissait le grade social en fonction de la taille du sexe, tu ne serais pas Empereur mais sans doute palefrenier ! »
Et c'est ainsi qu'à l'âge de seize ans, Magnus Aelicus Macula fut crucifié devant les portes de Rome. Son cadavre fut décroché et jeté à l'eau deux jours après sa mort.
C'est sur une berge, en amont d'un fleuve quelconque, qu'Aelicus ouvrit donc de nouveau les yeux.
Du coup, tout heureux de se réveiller une fois de plus en vie après avoir été tué (il avait encore un peu de mal avec la douleur à cette époque, mais ce don le passionnait de plus en plus, surtout en entrevoyant les multiples possibilités qu'il lui fournissait!), il décida de repartir pour Rome, après avoir volé des vêtements.
Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant que César n'était plus, et que son fils Brutus l'avait assassiné ! Alors c'était ça, hein. Peut-être qu'après tout, son insulte sur la place publique avait entamé sa crédibilité, et que son fils avait décidé qu'il n'avait plus l'aura d'un empereur ? C'était plutôt une bonne fin, et d'ailleurs, Aelicus était très content de ses âneries. Si c'était sa faute, c'était sans doute encore mieux. Mais ça, malheureusement, il ne le saurait jamais. Enfin bref, c'est Brutus qu'il aperçut, se pavanant en ville lors d'un défilé, et non pas son père. Rempli d'une profonde frustration, Aelicus se faufila jusqu'au char, grimpa dessus et gifla puissamment Brutus, qui ne s'attendait sûrement pas à ça. Avant qu'il ait pu tenter quoi que ce soit d'autre, il fut maîtrisé.
D'ailleurs, on crut bon de le jeter aux lions. Il mourut dévoré trois fois avant de réussir à s'échapper par une canalisation qui tenait lieu d'égout. Compliqué et laborieux. Aelicus décida d'ailleurs qu'il détestait être jeté aux lions, et préférait largement être crucifié,
C'est aux alentours de -40 qu'on retrouve la trace d'Aelicus, du coté de l'Egypte. Comme à son époque romaine, il continue de faire les quatre cent coups. D'ailleurs, il a changé de nom : si le nom romain est presque imprononçable, parlons de sa signification en langue moderne : Tête de Papyrus, le conquérant du Nil. Tel était son nom. Oh bien sûr, en ville, on avait un peu de mal à le prendre au sérieux … Mais bon.
Après s'être introduit dans le palais de la Reine, il déroba la bague de cette dernière. Par ailleurs, il porte toujours la bague de Cléopâtre, aujourd'hui encore. Surpris en train de la voler, Tête de Papyrus sera jeté aux crocodiles. Heureusement ceux-ci, un peu moins rapides que les lions lorsqu'il fait froid, ne le tueront qu'une seule fois : son deuxième réveil, en pleine nuit, lui donnera l'occasion de s'échapper assez facilement. Et pas attaché, surtout : on n'attache pas quelqu'un qu'on balance chez les crocodiles. Enfin, se faire bouffer par des crocodiles avait été particulièrement désagréable. Au moins, on lui avait laissé la bague : il l'avait rendue impure en la portant, fallait-il croire. Toujours était-il que son corps avait été broyé par les crocos, et que cela ne lui plaisait vraiment, mais alors vraiment pas.
Et il décida de se venger !
Alors qu'il déféquait tranquillement sur le lit de Cléopâtre, celle-ci se pointa avec son amant et quelques servantes.
Cette fois-ci, la sentence de la reine de l'Egypte fut bien plus impressionnante : il fut contraint à courir dans le Sahara, tandis qu'on lui fouettait le dos avec un lasso à épines.
Une fois revenu à lui, seul dans le Sahara, il marcha longtemps, mourant plusieurs fois de faim, de soif, et d'insolation (c'est là qu'il découvrit qu'il pouvait ressusciter même avec des morts comme celles-là!). Quand il fut enfin arrivé dans un village, appelé Abou-Karazout, il eut une merveilleuse idée, enfin. Histoire d'arrêter de se faire piétiner comme une merde partout où il se pointait. Il se fit tout simplement passer pour un Dieu ! Eh oui, un type qui, quand tu le piques avec une dose de poison de scorpion capable de démolir un cheval, se relève deux heures après comme si de rien n'était, ça surprend toujours.
« Je suis Caracoromol, Dieu du Sable ! Agenouillez-vous à mes pieds, mortels ! Et je serais clément avec vous. »
Ah, ce fut enfin la belle vie, pendant quelques années. De la nourriture à volonté, des filles rien que pour lui et en grande quantité … Des servants trèèèès obéissants, aussi, ça aide toujours à se sentir plutôt bien. Jusqu'à ce que de stupides pygmées saccagent tout, génocide son peuple, et l'empale sur une pique à l'entrée du village.
Histoire de se refaire une santé, il fit un petit détour dans son cher Empire romain (une fois descendu de la pique, cela va de soit), pour aller voir un étrange personnage dont on disait qu'il faisait des miracles. Actuellement, il était en cours de crucifixion et se nommait Jésus. Quel nom de merde, se disait Aelicus. Enfin, de toute manière il fit juste un petit tour dans le coin pour se moquer de lui. Il avait vraiment l'air con sur sa croix. Ceci fait, il retourna dans le Sahara.
Retourne voir les pygmées qui l’ont embroché et les insultes de cul plein de merde, se fait découper en morceaux et éparpillé dans le Sahara. Caracoromol part alors vers l’Est, et l’Asie.
En Asie il stationne pendant de longues années à Rajarunga, au royaume de Chola (Sud de l’actuelle Inde), de l’année 15 jusque dans les années 200. Il va de monastère en monastère, pendant presque deux cent ans, en emmerdant particulièrement beaucoup les moines, les uns après les autres. Systématiquement expulsé des établissements, il fini par être fiché et devoir se trouver une nouvelle place.
Il revient donc dans l’Empire romain au moment de la crise, entre 200 et 300, et visite les différentes tribus barbares qui l'assaillent. Il cracha au visage d’à peu près tous ceux qu’il croisait, histoire de comparer leurs différents moyens pour exécuter les salopards.
Au début des années 300, le peuple sous-terrien des Yautjas lui tombent dessus, le bute, puis finissent par l’enterrer vivant en Amérique Centrale en l’avertissant de ne plus jouer les dieux et d’arrêter de les emmerder. Il est déterré au début des années 1000 et reste 700 ans à inventer des chansons vulgaires sous terre.
Entre 1000 et 1200, sous le nom de Quetzalcoatl ( eh oui, Jaroslav est ce roi mythique de l’Empire toltèque, divin et mystique !), dans l'actuel Mexique, sous le régime de l'empire toltèque, il se fait passer pour une divinité dès que les Yautjas ont le dos tourné.
Les Yautjas lui tomberont encore dessus et l’enfermeront deux cent ans avant de le libérer et de l’avertir : s’il fait encore de la merde, il sera enfermé à jamais, cette fois. C'est le début de la peur des Yautjas de Jaroslav, qui le laissent en liberté en échange d’un peu de publicité religieuse à leur encontre. Depuis, les Yautjas reviennent régulièrement dans sa vie. Il occupera pas mal de temps à faire ça entre le 15ème et le 20ème siècle, mais nombreux seront les détours !
Lors de la révolution française, il jettera pas mal de tomates sur qui il pouvait pour les insulter.
Il dira aimablement à Napoléon :
« T'es un foutu gros nain branquignole, moche comme une truie mal sautée. »
Et il coupera en deux son chapeau, juste avant Waterloo en 1815. Peut-être que c’est le profond agacement de Napoélon après cela qui a décidé de l’issue de cette bataille ? Peut-être.
Au cours du vingtième siècle, il demeurera principalement aux USA, échappant complètement à la guerre mondiale. A la fin, il ira embêter Staline à plusieurs reprises, si bien que celui-ci se demandera un moment s’il n’a pas perdu la boule, et deviendra encore plus violent à la fin de son mandat. Jaroslav est du même coup, sans doute, le responsable de milliers de déportations inutiles.
Finalement, il est tel qu’on le connaît de nos jours. Toujours la plus grande chiure de l’histoire de l’humanité.
Liens :
-Jack Armuk, le Yautja en charge de sa surveillance. Autant dire qu’il ne l’aime pas. Il a tout essayé : le faire mourir de faim, de soif, le découper, lui broyer le cœur, la cervelle. Tout.
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♠ • Vous • ♠
•Code :Validé par Amy
•Un nom ou pseudo :Chaton !
•Votre age :23
•Provenance de l'avatar :Renders-graphique ?
•Double compte ? :OUI 
•Comment avez-vous connu le forum ? :par Mü.
•Le plus : Bwahahaha !
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Dernière édition par Jaroslav le Lun 4 Mar 2013 - 16:17, édité 1 fois |
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