Quelque part dans le quartier populaire des immigrants irlandais des États-Unis, plusieurs voitures noires en file indienne roulaient à travers le vent glacial et l'humidité de la saison. *Pas de doute nous sommes bien à New-York* Pensa le chauffeur au milieu de la ligne qui conduisait une limousine teintée de blanc à travers toute la ville jusqu'à devant un piteux bar, l'Irish Leprechauns. Des dizaines d'hommes en noir sortirent des voitures et claquaient les portières pour annoncer leur venue. Certains passants lambda ou d'autres clients du bar reculèrent par instinct croyant avoir à faire aux fédéraux de l'État, d'ailleurs ils ne se génèrent pas pour boucler le secteur et menacer les trop curieux de s'en aller au risque d'avoir de sévères ennuis. Quand soudain un groupe d'hommes entra dans le bar tous cachés derrière leurs lunettes noires. Les clients du bar arrêtèrent soudainement leurs occupations pour regarder les étranges visiteurs puis l'un deux sortit une vielle photo issue de l'ancien passeport du suspect qu'il gardait dans sa poche intérieure et parla de haute voix. « Nous recherchons un homme nommé Duncan McElligott et nous savons qu'il est le propriétaire ! » Les hommes en noir se mirent à la recherche de l'individu parmi la clientèle, certains fouillaient les clients pour rechercher une arme tandis que d'autres les questionnaient. L'ambiance devenait de plus en plus tendue... Quand le chef de groupe reprit la parole sous les airs de menace. « Pour ceux qui ne savent rien sortez ! Nous avons des affaires à régler avec cet homme. » Pour montrer qu'il était sérieux il souleva une partie de son manteau pour montrer la crosse de son arme à feu. Puis la seconde qui suivit, tous les clients sortirent du bar en courant... Sauf le barman qui essuyait toujours son verre avec un air décontracté... L'homme de main dit « Vous là, qui êtes-vous ? »
[hrp/je sais c'est un peu cours mais c'est pour commencer rapidement l'intrigue.]
J'étais en train d'essuyer mes verres pour changer quand d'un coup, une petite bande entra avec violence dans le bar, je pensais à un hold-up au départ mais non, voilà qu'un mec annonce qu'il me cherche, quelle veine... Ironie du soir, je suis là au bar c'est dommage de venir me chercher ici comme qui dirait enfin bon.
Dis moi le man in black qui a peur qu'on sache qui sait que c'est pour ça qu'il a des belles lunettes, pour commencer, on est poli, on dit bonjour monsieur, je désirerais parler au patron? Ou bien encore, bonsoir barman une bière Irlandaise avec en supplément le patron, nous aimerions lui parler. Rien ne sert d'être une brute, vous êtes civilisé je pense non?
Je posai le verre sur le bar, reculai un petit peu, j'observais la situation, ils étaient trop nombreux pour que je tire dans le tas avec un fusil, encore moins possible de tenter une bataille avec mes talents de catcheur, j'étais un peu obligé de pas pouvoir sauver ma peau. Mais vu que chez les Soldiers, on nous avait donné un petit bipper en cas de problème, il allait peut-être être temps pour moi de l'utiliser. Enfin en attendant.
Vu votre manque de politesse mais aussi votre nombre, je pense que je suis celui que vous cherchez messieurs, en quoi puis-je vous aider gentlemen? .
Les hommes en noir venaient de sécuriser les lieux pour encercler la cible. Puis, soudain une autre personne entre dans le bar, mais cette fois c'est une femme. Une très belle brunette avec une paire de lunettes est un costume sublime qui exposait bien son corps de rêve... Elle regarde les lieux durant un moment avec un rythme de pas régulier qui exposait ses longues jambes et ses talons aiguille pour enfin s'approcher du bar et glisser son index avec ses gants en cuir noir pour inspecter la propreté des lieux et elle remarque un peu de bière collant sur son doigt.
« Votre bar est déplorable ! Je n'attendais pas mieux pour un Irlandais. Pensez à passer un coup de torchon. »
Elle reprend son souffle et se tourne en direction du Barman en dévoilant un somptueux décolleté qui rendrait dingue n'importent quel mec sensible à ses choses. Soudainement elle sort son téléphone portable : « Dis cheese ! » Elle le prend en photo puis compose un numéro pour l'envoyer à un destinataire.
« C'est pour la formalité, mon client vous recherche depuis longtemps. Très longtemps... » Elle s'assoit sur le bar en croisant ses jambes sexy et le regarde avec ses yeux de séductrice comme si elle attendait quelque chose ou quelqu'un puis son téléphone commence à vibrer. Elle venait de recevoir un message qu'elle consulte avec attention puis s'exprime à haute voix.
« Waaaaaaaaaa... votre famille... Pardon, votre père à une dette d'un million de dollars qu'il doit à McGrath, le parrain de la pègre irlandaise. Le savez-vous ? D'ailleurs j'ai entendu dire qu'il est décédé, mes condoléances, mais il faut bien que quelqu'un paye à sa place, mais qui d'autre que son fiston peu le faire. Donc je vais être directe... avez-vous l'argent ? Sinon je vais devoir me montrer vilaine... »
La baronne fait un geste de la tête pour ordonner aux hommes de fouiller les lieux. Les mafioso saccagent tout le bar afin de trouver l'argent, puis un autre prend la caisse et la renverse par terre pour compter l'argent. « Maitresse, il n'a que 1700 dollars ! » La baronne soupire et se lève du bar, pour sortir une cigarette très féminine. « Monsieur N, à dit de le tuer s'il ne se montre pas compréhensif... »
Tous les hommes sorte leur arme et se préparent à tirer sur le barman. Pendant ce temps la jeune femme retourne finir de fumer sa cigarette dans la limousine blanche en espérant pouvoir rentrer chez elle le plus rapidement possible quand elle entend les mecs faire feux à volonté, mais un scénario improbable allait se réaliser dans les murs...
Qui est la Baronne ?
Spoiler:
Age: ? Prénom: Dassy Élisabeth Nom: Bright Pseudo: La Baronne Une femme d'origine Britannique, on sait qu'elle a une haute position dans le syndicat de cerberus. Elle ne possède aucun pouvoir mais elle utilise son corps et son intelligence pour arriver à ses fins. Elle utilise des armes à feu , le combat au corps à corps et c'est une experte en torture.
Waaaaaaaaaa... votre famille... Pardon, votre père à une dette d'un million de dollars qu'il doit à McGrath, le parrain de la pègre irlandaise. Le savez-vous ? D'ailleurs j'ai entendu dire qu'il est décédé, mes condoléances, mais il faut bien que quelqu'un paye à sa place, mais qui d'autre que son fiston peu le faire. Donc je vais être directe... avez-vous l'argent ? Sinon je vais devoir me montrer vilaine...
Oh quand même, je savais que mon père avait une dette de drogues et peut-être de jeu, mais un million, bravo à lui. C'est ce qu'on appelle la responsabilité, on laisse courir ses dettes et un jour quand vous mourez, c'est vos enfants qui doivent en payer le prix. Mon père devait donc de l'argent à ce McGrath, c'est une bonne nouvelle, je vais essayer d'avoir des informations sur lui ça peut devenir intéressant pour ma part.... Cette femme me tapait déjà sur le système, pas pour rien qu'elle me demandait si j'avais l'argent mais avant même que je puisse répondre, un de ses garcelets du corps m'ôta les mots de la bouche.
« Maitresse, il n'a que 1700 dollars ! »
Et elle ajouta donc:
« Monsieur N, à dit de le tuer s'il ne se montre pas compréhensif... »
Bizarrement, j'eus un mal de crâne énorme à la fin de cette phrase, comment cela se faisait-il? Encore mes oreilles qui sifflaient comme lors du gala... Qu'est-ce que cela signifiait? J'essayais de parler à la femme...
"Dites-moi, comment s'appelait mon père si vous dites que je dois de l'argent? A qui le dois-je maintenant à McGrath? Quelqu'un d'autre? Sinon, vous permettez que je prenne de l'aspirine?"
J'allais tenter le tout pour le tout, le problème c'est que ces gens savent où est le bar et ils leur seraient facile de revenir pour essayer de m'extorquer de l'argent. Enfin pas grave, je vais essayer, j'ai rien à perdre sauf la vie.
"Sinon, tueriez-vous vraiment une personne qui vous doit un million? Moi je pense pas donc...."
Ne laissant aucune réponse, la femme partit, me laissant avec la bande qui me tenait en joue et qui allait faire feu. Il était temps pour moi d'agir...
Tu me le payeras très cher, papa je te le promet... Je dégoupillais la grenade fumigène que j'avais caché sous le comptoir pour ce genre d'occasion. J'attendis que la fumée se fasse plutôt épaisse avant de me rendre en farfadet et de me faufiler vers les vestiaires et la sortie de secours.... vers là où cette femme est partie... quand je sors, je vois une limousine blanche qui commence à rouler plutôt doucement, je la suis du regard et commence à courir après tel un chien qui se rue sur un ballon. La limousine prit une petite rue où il était assez simple de monter sur le mur et de bondir sur la voiture, ce que je fis. Une fois dessus... il me vint une idée qui risquait de casser un peu cette Rolls mais bon... J'augmentais mon poids histoire que le capot de la voiture cède ou que les suspensions sautent faisant éclater les pneus par la suite. Dès lors que la voiture s'arrêta, j'ouvris la porte un pistolet à la main. Avec un petit sourire irlandais, je ne pus m'empêcher de lui dire...
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