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 |  Sujet: Red'view  Dim 9 Oct 2011 - 16:27 | |
| Nom & Prénom
♣ • Identité • ♣
•Nom :Mac'Dougall
•Prénom :Georgius
•Pseudonyme/Surnom :Red'view
•Sexe : masculin
•Race :Mutant
•Age : 25 ans
•Date de Naissance :21 Novembre 1986
•Famille : Une mère vivante, mais loin et dont il n'a plus de nouvelle depuis 6 ans.
•Nationalité :Ecossais
•Métier : Aucun
•Groupe : Mutant libre
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♦ • Pouvoir et Capacités de combat • ♦
•Pouvoir : Illusions sensorielles
•Description : Capacité à créer des illusions olfactives, visuelles et auditives ( au niveau du gout et du toucher aussi, mais sur une base existante ) et peut aussi mélanger toutes les illusions sensorielles sur un même point, ce qui demande beaucoup d'énergie, trop sans doute.
•Maitrise : Red'view peut en effet donner une dimension illusoire à tous les sens, et dont il n'est pas immunisé. Pour avoir la sensation de savourer un délicieux strudel alors qu'il s'agit bien d'une vieille tranche de salami à moitié boulottée, ou d'un morceau de pain rassis. Pour avoir l'illusion de cuver une bouteille de Jack Daniels alors que la réalité montre qu'il s'agit bien de la pire piquette que vend l'épicier du coin. A la fois protection et évasion, le pouvoir de Red'view lui permettra tout aussi bien de faire passer de la cocaïne pour de la farine de blé et de se camer avec en matant une streap teaseuse irréelle.
•Maitrise supérieur :
•Maitrise talentueuse :
•Maitrise suprême :
•Art Martial : Ancien champion de boxe à main nue, Red'view se bat avec poings, tranche et plat de la main, jambe et muscles frémissants. Évitant le plus possible les combats, parfois incontournableS dans les rues, il préfère de loin laisser son adversaire tambouriner et frapper un vide lui ressemblant traits pour traits.
•Équipement : Un sac usé toujours accroché à son dos, un pendentif anarchiste au bout d'une chaîne d'argent, quelques outils insignifiants mais utilitaires comme le couteau-suisse ou le le flingue en plastique, Red'view porte souvent sur lui une bouteille de mauvais vin, de quoi se défoncer et gliss2 dans le fond d'une grande poche de son pantalon, demeure un vieux livre jaunis et abimé intitulé "L'Humanisphére".
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♠ • Apparence • ♠
•Description Physique :Red’view est un punk. Un vrai. Authentique. Par ses origines écossaises, il garde la peau pâlissante des peuples du nord, et la blondeur éclatante de ses ancêtres, de même qu’un regard vert profond, ou brille les lueurs de sa révolte intérieure, et d‘une méfiance de ce qui l‘entoure aussi intense qu‘un dégout suprême. L’épaisse crête suivant la ligne arrondie de son crâne, se termine en une petite tresse de cheveux dorés qui tombe à ses épaules tandis que la ligne effilée de sa mâchoire, ainsi que son menton creusé, se couvre d’un pelage pas toujours ordonné où la rouille se mêle à la blondeur. Les joues creuses, le nez droit et caractériel aux narines frémissantes, les pommettes hautes et saillantes, le froncement presque habituel de ses sourcils, donne à son visage masculin, une certaine impression de hargne fougueuse, d’une agressivité latente, un désarrois qui se protège avec la force de l’intempérance.
De grande taille, sa silhouette reste marquée par les excès de drogue, d’alcool et le manque de nourriture, même si la largeur des épaules, la tenue impérieuse et la mobilité de ce corps laissent apercevoir les ruines d’une musculatures entraînée.
La peau de Red’view semble être entièrement tatouée de dessins à l’encre rouge, sur ses bras, son crâne, sa nuque, le côté de son cou, comme la paume de ses mains, sont visibles une myriades insensée de symboles, écritures, caricatures et anticonformisme dérangé, slogans extrémistes. Sa tenue vestimentaire, tout aussi chaotique, garde les mélanges du cuir, du tissu et de morceaux de métal vieillissant, toujours noire aux accents écarlates, un veston court de cuir démodé, un lourd pantalon troué ou cliquètent des chaines en argent, d’épaisses chaussures de cuir montantes à la semelle endommagée, aux extrémités de cuir brun élimées. Une tenue portée depuis longtemps, tous les jours et montrant des signes de fatigue visible.
L’allure nonchalante, doublée de quelques tiques nerveux, parfois agités, parfois apathiques, l’odeur qui se colle à lui est celle de vêtements jamais lavés, d’une peau qui l’est trop rarement, de reste de tabac froid, les relents âcre du mauvais vin et de la misère, qui répondent à ceux de la perdition et de la solitude.
•Signe Particulier : Une cicatrice en travers de ses lèvres, quelques traces de vieilles blessures sur le corps. Un rat, qu'il aura nommé "Bakounine" l'accompagne à chaque instant de son quotidien,
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♣ • Mental • ♣
•Psychologie :Red’ est cynique, hargneux, tantôt indifférent, tantôt fougueux. Méprise les lois, les obligations, les discours, crache sur les riches, les pauvres, les imbéciles et les minorités. Profondément engagé, sa verve se situe dans sa vision chaotique de la vie, du destin inexistant, du hasard fortuit qui fait qu’il est toujours vivant. Indéniablement atteint d’une incapacités à se mêler à ses semblables ou dissemblables, sa pathologie sociopathe, semble avoir pris un tournant infernal depuis la découverte de sa différence. Solitaire et toxicomane, son intelligence développée et ses capacités de réflexion font de lui un marginal lucide et volontaire, mais impulsif et socialement exclu, tout en lui faisant voir avec un pessimisme narquois l’horreur de son quotidien.
Parfois torturé par ses souvenirs, l’agitation de son esprit n’a de semblable que son agitation physique, ces deux parties de son être souffrant consciemment d’un manque certain de compréhension et de répondant. Red’view regarde le monde avec les yeux d’un philosophe, ceux d’un fou, ceux d’un junkie mais aussi ceux d’un miséreux et d’un révolté, qui font de lui un personnage aux « idées rouges », incontrôlable parolier aux diatribes virulentes et vivaces, comme si sa langue n’arrivait jamais à trouver les mots pour traduire les tourments de son esprit.
Red’view ne semble craindre que la présence d’autrui, s’acharnant à ne faire que ce qui l’intéresse et lui profite, n’hésite jamais, aimant le mouvement et le changement, sans habitudes et sans attente, il est un homme imprévisible, une bête qui se croit continuellement traquée.
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♦ • Histoire • ♦
•Capacités : Débrouillard, intelligent, moraliste à ses heures, Red'view garde une connaissance avisée des rues et coins pas très recommandables de New York. Slalomant entre squats crados et encoignure de porte aux relents d'urines, il sait aussi très bien ou se trouve la meilleur came de la ville. Il pourrait presque dire qu'il est heureux...si certains soirs, la cocaïne ne disparaissait pas si vite.
•Situation : SDF junkie, clochard punk, Red'view vit là où il peut, mais surtout là où il veut, ne gagne pas sa vie et ne veux pas la gagner "puisqu'il l'a déjà" et trouve en Bakounine son fidèle comparse. Son joyeux petit compagnon blanc étant à la fois le moyen de parler à quelqu'un, de dires d'ignobles grossièretés sans attendre en retour un regard méprisant et le faible et fragile lien, cependant certain, qui le retient à la réalité.
•Passé :Georgius Mac’Dougall, né à Pitmedden, petite ville d’Ecosse proche de la Mer du Nord et située entre Fyvie et Aberdeen, le 21 Novembre 1986. Enfant d’une union illégitime d’un marin et d’une petite secrétaire d’un cabinet d’avocat, Georgius passera une enfance monotone, dans une aisance moyenne, et souffrira de l’absence d’un père absent et inconnu. Gamin silencieux et studieux, il se découvrira bien vite une passion pour la lecture et l’écriture qui l’éloigneront encore de quelques pas de ses camarades, dont il ne cherchera jamais la compagnie.
C’est alors qu’il vient de fêter humblement ses 10 ans que sa mère devient Madame Mac’Dougall, elle-même âgée de trente ans. Épousant le fils d’un notable d’Aberdeen, sa mère trouvera dans cet union, le moyen de creuser un peu plus le fausset qui les sépare, le rendant bien vite infranchissable. L’indifférence de sa mère provoquera chez le petit garçon une haine impitoyable pour son beau-père, qui l’adoptera pourtant une année plus tard. Homme malhonnête et insatisfait, Monsieur Mac’Dougall glissera doucement sur les pentes du précipice de l’alcoolisme, devenant violent en gestes et paroles avec Madame et fiston.
C’est en retardant le plus possible l’heure de rentrer à la maison, qu’a la sortie de l’école, le jeune Georgius, admirera le paysage tumultueux et rocailleux des Highlands. Grandes étendue à flancs de montagnes, forêt pleine de bruits et de senteurs, prêt des Lochs limpides et mystiques, le garçon s’enflammera contre des ennemis invisibles, déchargeant les peines de son cœur et la révolte de son esprit sur quelques rochers trop paisibles.
Un jour comme celui-ci, alors qu’il a atteint ses quinze ans, Georgius découvre son pouvoir. Dans la forêt bordant l’imposante silhouette de Slains Castle, alors que ses coups se portent sur l’écorce rêche d’une souche morte, que ses poings s’écrasent avec rage et virulence sur le tronc inébranlable, défoulant son cœur meurtri et sa solitude écrasante, que l’impensable arrive.
De la souche grimpe une supplique, le cris d’un homme qui souffre alors qu’on le frappe, un gémissement ténu qui tremblote dans la brise fraîche comme quelque illusion que produit l’esprit. Mais Georgius fait le sourd et n’écoute pas la douleur, ne l’entend pas. Puis bientôt, sous ses mains, l’arbre sans vie s’amollit d’une texture plus douce, un toucher de chaire, de sang et d’os qui se brisent sous ses poings, réalité fugace, terreur intense.
Mais l’enfant continue encore, encore et encore de défouler son âme sur son adversaire passif, hurlant sa haine, son dégout. Et la souche peu à peu, se teinte de flou, devient brumeuse et intangible, pour ne bientôt former que sous les mains brutales du jeune homme, la silhouette abimée de Monsieur Mac’Dougall, saignante, gémissante et affaissée.
Tremblant de terreur, Georgius s’enfuira jusqu’à la maison, ses boucles blondes frappants son visage.
Mais c’est un beau-père sans blessures ni sang qu’il retrouvera chez lui, occupé comme chaque jour, à molester sa mère. Perdu et plein de questions, il tâchera d’oublier cet épisode, l’enfouissant au fond de lui comme un secret pour mieux le nourrir d’espoir.
Comprenant bien vite qu’il pouvait « créer des choses », il crut devenir fou, crut être un monstre. Renfermé et secret, Georgius protégera sa différence en silence, s’éloignant toujours plus du regard de ses semblables, devenus des étrangers.
« Je suis un monstre…je fais de la magie comme les sorciers celtes… »
A 18 ans, las de supporter son quotidien, fatigué et révolté, il s’acharnera à convaincre sa mère de l’envoyer étudier la Philosophie à Edinburgh, qui acceptera, terminant de sceller une distance qui ne pourrait jamais être éradiquée. C’est dans la vie urbaine, libéré du poids de sa parenté et des violences alcooliques de son beau-père que le jeune homme touchera tour à tour à diverses libertés. Drogues, soirées arrosées, bar à putes et rassemblements engagés feront de lui l’être qu’il est aujourd’hui, le chargeant d’une haine incontournable des lois et des conventions, le fermant à un système sociétaire dont il réprime les méthodes, dans une époque où l’Angleterre, pays voisin, trouvera son content dans un Tatcherisme qu’il jugera abusif et dont les idéologies libérales éveilleront son cœur de révolté.
A 20 ans, alors qu’il est la vedette de la Boxe à main nue d‘Edimburgh, ses sens s’enflammeront pour une américaine de trente cinq ans, Clara Theals, touriste et femme d’affaire dont la beauté pulpeuse chargeront de rêveries le cœur du jeune écossais. Rapidement amants, Clara l’étourdit de milles promesses passionnées, lui proposant de la suivre à New York.
Les USA pourtant, n’avaient rien d’une terre promise. Illusion d’un Âge d’Or, rêves de surfaces cachant la misère et l’indifférence, les amours fugaces et passagers, Clara Theals revenue dans l’épaisseur de son pays, redevint la femme d’affaire opportuniste et pressée qu’elle était. Changeante et infidèle, volage et absente, son compagnon trop jeune et trop rustre, sortie de ces campagnes oubliées d’Ecosses, devint un poids dont elle se débarrassa.
Seul et à la rue, sans argent ni toit, trahi par l’amour qu’il s’était permis, furieux de s’être ainsi oublié, l’errance urbaine, au milieu de l’agitation et de la mouvance intense de la mégalopole, de la morsure de la cocaïne dans sa chaire, New York assomma ses sens, brûla sa volonté pour ne laisser que la violence de sa pathologie.
« Je ne veux pas gagner ma vie, je l’ai. »
Mais la ville parle, les gens chuchotent, en petits murmures craintifs, ponctués de criaillements de peur, parfois de haine, ou bien de joie pour les plus allumés. Les rumeurs parlent de monstres, qui se nourriraient et grandiraient dans le vendre grouillant de New York, asticots voraces. Mais tout le monde sait pourtant, que les monstres ne sont pas ceux que l'on croit.
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♠ • Vous • ♠
•Code :Valide
•Un nom ou pseudo :Micheline
•Votre age :75 ans
•Provenance de l'avatar :...
•Double compte ? : Non
•Comment avez-vous connu le forum ? : Devines ?!
•Le plus : "La volupté de la destruction est la volupté de la création." ( Michel Bakounine )
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