X-Men : Sentinel Project
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X-Men : Sentinel Project

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 On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop)

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Hypermusic

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MessageSujet: On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop)   On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop) Icon_minitime1Mer 2 Juil 2014 - 0:05

L'hôtel est derrière moi, la route devant. Tout va bien. Les chats courent, les chiens jappent et je suis heureuse. Je retourne bientôt à New-York, je retourne là où je sais avoir une place, la confrérie et sa bande de jeunes que je vais sûrement vouloir étriper en mettant les pieds dans le hall du manoir. Il faut que je me trouve un autre boulot, je vais peut-être voir si je peux pas faire barman. Les choses autour de moi semblent s'étirer et s'étioler, la musique est toujours plus forte dans ma tête, mais elle déforme ce que je vois autour de moi maintenant. Un peu comme si j'étais toujours sous acide. Un bon buvard dans la bouche, tout tourne, tourne, déforme, s'éloigne et se rapproche...

Les couleurs explosent autour de moi, je revois les gens que j'ai laissé derrière moi, je revois Ryan, quelques amis de job et je me rends compte que je suis tellement seule. Sans la Confrérie, mon corps serait probablement dans une ruelle avec une balle dans la tête. Un soupir s'échappe de mes lèvres alors que je regarde mon reflet dans la vitre de l'hôtel chic de Bangkok (ouais, c'est pas évident à trouver, j'vous jure) et je refais une tresse rapide dans mes cheveux. Je replace ma toge orange et mon sac sur les épaules, en attendant mon taxi qui va me mener à l'aéroport.

Je suis heureuse, j'ai quelque part où retourner et vivre. Un sourire étire mes lèvres tandis que mes yeux restent impassibles. Après deux années de pèlerinage, je sais que le calme est quelque chose que je dois plus apprécier. Mouais. C'est pas évident, mais je m'essaie. J'ai fait ma méditation du matin, étirée, et je crois que je suis prête à affronter la journée. Je crois. On verra bien ce que ça va donner. Je me demande si on serait capable de me reconnaître, j'ai gagné en muscle, mes cheveux sont plus long et de couleur noire... Mais j'espère que dans mes prunelles, les gens y verront la même folie, la même soif de vivre.

Je n'ai aucune idée de ce qu'il s'est passé sur la scène musicale des dernières années, alors je reste avec des vieilles chansons, mais elles ne sont plus comme moi... J'ai changé, alors il faut bien que mes chansons changent aussi! Dans ma tête, je prends mes vieux mix et je les retravaille, je les manipule et j'en fait quelque chose de complètement nouveau. J'essaie de contenir ma musique à l'intérieur de mon corps, mais bon... Ma tête étant ce qu'elle est, ca fuit de partout et je deviens une femme fontaine musicale. Hehehe. J'aime bien l'image et je glousse doucement, secouant la tête pour essayer de garder mon sérieux.

Soudainement.

Le doute.

Irrépréssible, prenant ma poitrine d'otage, le doute d'avoir oublié quelque chose dans ma chambre d'hôtel se fit bientôt incontrôlable. Faisant tomber mon sac d'un mouvement d'épaule, je foullais à l'intérieur de manière frénétique, avant de sortir triomphalement un petit carnet, miracle de la vie, je n'avais pas oublier mon billet d'avion dans ma chambre. Soupirant, je l'ouvris pour vérifier l'heure de départ et un homme m'accrocha, le billet partant au vent.

Putain! C'est pas le temps de perdre mes trucs! Projetant une onde de choc irritée vers le mec pour qu'il se tasse de mon chemin, je couru après mon billet comme une poule sans tête. Je veux partir de ce putain de payyys!! Laissez-moi partiiiir!!!


Dernière édition par Hypermusic le Mer 2 Juil 2014 - 22:35, édité 2 fois
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Erïka M. Davidoff
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MessageSujet: Re: On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop)   On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop) Icon_minitime1Mer 2 Juil 2014 - 2:21

“I am misused, I don’t wanna do
Be not your slave
Misguided, I mind it, I'm missin the train.”
Miss Nothing - The Pretty Reckless

-« Ne t’en fais pas. Ne te sent pas coupable. Occupe-toi de ta mère en priorité et aussi de ta santé. C’est important. Non. Je me suis trouvée un hôtel, tu n’as pas à te soucier de ça. Tu sais que l’argent n’est pas un problème, May. Je suis venue avec l’avion de mon père, de toute façon. Tu vois, il n’y a pas de problème. Je vais repartir aujourd’hui et prolonger mon séjour à New-York. »

Le voyage d’Erïka tombait à l’eau, mais cette dernière ne semblait ni irritée, ni frustrée. Elle connaissait Maylee pratiquement depuis l’arrivée de cette dernière à l’institut, un an plus tôt. Nombreux étaient ceux qui étaient au courant de sa santé fragile et sa tendance à tomber malade. Elle avait décidé de retourner en Thaïlande pendant l’été afin de passer du temps avec sa famille. Erïka devait la rejoindre pendant ses maigres vacances et séjourner dans la maison de sa mère. Voilà que quelque chose venait de tout changer : la mère de May a fait une mauvaise chute dans les escaliers qui l’a conduite à l’hôpital. Son amie était à son chevet au moment où Erïka avait quitté Londres et cette dernière n’avait pu la joindre à temps pour lui expliquer le problème.

La veille, Erïka avait malgré tout visité les alentours, quelques endroits culturels intéressants de la ville ainsi que certaines boutiques attrayantes. Puisqu’elle ne souhaitait pas s’imposer à son amie alors que les choses n’étaient pas faciles pour elle en ce moment, elle décida de retourner à New-York, comme elle devait le faire une semaine plus tard. Après avoir fait un appel pour que le jet privé de son père soit prêt à décoller dans l’après-midi, la jeune femme eut la mauvaise surprise de découvrir qu’il avait quitté l’aéroport quelques heures plus tôt à la demande de son père. Cela la forçait donc à prendre un autre avion. Elle soupira, agacée. Elle allait devoir dire deux mots à son père.

Il était encore tôt lorsqu’elle appela son père. Elle se fichait bien de le réveiller ou de le déranger. Elle était en colère contre lui et avait, selon elle, de très bonnes raisons pour cela.


-« Je peux savoir pourquoi tu t’es barré avec ton jet ? »

Un long silence se fit de l’autre côté de la ligne. Elle crut entendre son père soupirer.

-« Je n’ai pas eu le choix de devancer ma visite chez un investisseur à Washington. Je ferais en sorte d’assurer ton transport lorsque tes vacances en Thaïlande seront terminées. »
-« Elles le sont déjà. La mère de Maylee est à l’hôpital. Tu aurais au moins pu m’appeler pour me prévenir ! »
-« Je ne pouvais pas prévoir que tu en aurais eu besoin si tôt… »
-« Mais tu aurais pu m’appeler ! Tu m’as fait chier pendant une semaine complète pour que je prenne ton putain d’avion car selon toi « une femme de ma classe sociale mérite le confort de son propre jet ». J’te jure que c’est la dernière fois que j’ose t’écouter. »
-« Arrête de t’énerver, Erïka. » Il soupira à nouveau. « Si le partage du jet est un problème, je t’en achèterais un. »
-« Quoi ? Non mais ça va pas ?!  On n’achète pas un jet à quelqu’un comme ça. Non mais tu me prends pour qui ? Arrête de tout régler avec l'argent, putain ! Je suis capable de prendre l’avion comme tout le monde ! Je me suis trouvée un billet d’avion pour un vol en direction de New-York, ce soir. »
-« Alors, pourquoi tu continues de t’énerver ? »
-« Parce que t’es un imbécile ! Voilà pourquoi. »

Erïka marchait de long en large devant l’hôtel, continuant de s’engueuler avec son père. Les choses semblaient s’être calmées lorsqu’elle raccrocha finalement le téléphone. C’était la dernière fois, se jura-t-elle, qu’elle écoutait les conseils de son père. Ils ne vivaient pas dans le même monde. Il appartenait à un univers de richesses où tout lui était permis et offert en un claquement de doigt alors qu’elle, elle avait grandi dans une famille dysfonctionnelle où elle s’était débrouillée pour survivre autant qu’elle le pouvait. Elle n’avait pas appelé son père par caprice, mais bien parce qu’elle n’appréciait pas le fait qu’il se permette de lui promettre des trucs avant de les lui retirer comme bon lui semblait. Il avait insisté pour lui offrir tout ce qu’elle désirait et l’installer dans le confort d’une vie qui ne lui seyait guère. Maintenant, il se permettait d’agir à sa guise, oubliant ce qu’il avait pu lui dire ou lui promettre, considérant qu’il suffisait de l’acheter avec de beaux voyages autour du monde ou des biens sans grande valeurs aux yeux de l’adolescente.

Au final, Erïka allait partir pour les États-Unis dès ce soir. Ça, ça lui convenait. Elle n’aimait pas l’idée d’être assise à côté d’une bande d’inconnus dans un avion, mais elle n’allait quand même pas en mourir. Elle pouvait bien supporter cela pendant de longues heures. Il lui suffisait d’écouter de la musique ou de se distraire avec le film ennuyeux et de mauvais goût qui allaient être diffusé dans l’avion. Cela allait l’occuper.

Il était temps pour elle de retourner à l’intérieur de l’hôtel et de préparer ses bagages. Elle avait eu de la chance qu’il reste de la place pour un vol, aujourd’hui. Elle n’avait pas vraiment envie de le rater. Alors qu’elle se dirigeait vers l’entrée principale de l’hôtel, un coup de vent balaya sa chevelure blonde, tout comme un morceau de papier qui vola à proximité d’elle. Elle l’attrapa d’une main puis l’observa avant de constater qu’il s’agissait d’un billet d’avion. Il ne lui fallut que quelques secondes pour réaliser qu’il correspondait au même vol que le sien et que les places se trouvaient l’une à côté de l’autre. Elle sortit son propre billet, rangé dans une poche intérieure de sa veste en cuir, afin de s’en assurer. Ainsi donc, sa voisine de siège avait passé à quelques secondes de perdre son billet d’avion. Erïka était-elle tombée sur une empotée ou simplement une femme qui avait eu de la malchance pour voir ainsi son billet échapper à sa vigilance ?

En voyant la propriétaire du billet accourir en sa direction, Erïka le lui rendit, un léger sourire sur les lèvres. De toute évidence, cette femme ne semblait pas d’origine Taiwanaise, mais elle portait un style plutôt particulier, qui se distinguait de la masse. Elle ressemblait pratiquement à une prêtresse ou quelqu’un pratiquant le bouddhisme avec cette tenue. C’était la première impression qu’elle avait.


-« T’as eu de la chance, un peu plus et il finissait sous les roues d’un taxi. » Fit-elle dans un anglais parfait qui trahissait néanmoins de son été passé à Londres. « On se recroisa plus tard, je suppose, puisque nous serons assises l’une à côté de l’autre dans l’avion. »

Dans la foulée, alors que la femme courait pour récupérer son billet, un homme avait été bousculé. On aurait pu croire qu’il était tombé seul pour une raison étrange et c’était ce qu’Erïka avait supposé. Cependant, le mec ne semblait pas du tout de cet avis. Il s’approcha des deux femmes et se mit à engueuler celle qui venait de retrouver son billet d’avion. Il se mit à l’engueuler en Thaïlandais et Erïka ne se gêna pas pour se mettre face à lui et lui répondre dans cette même langue.

-« Tu vas la fermer ta gueule, ouais ? Elle t’a même pas touchée alors tu lui fou la paix tout de suite, connard. »

Il essaya de bousculer Erïka pour pouvoir s’approcher de la femme. Il n’aurait pas dû. Lorsqu’il l’effleura, elle le frappa en plein visage. Il tituba et recula de quelques pas, la main sur le visage, là où elle l’avait frappé. Elle attendit qu’il s’éloigne, ruminant des injures, avant de se tourner vers la femme. À peine l’eut-elle fait que l’homme revint à la charge, fonça sur les deux femmes qu’il bouscula afin de voler le fameux billet d’avion. Il s’enfuit en longeant l’hôtel, sûrement pour y trouver une échappatoire derrière. Bien sûr, Erïka n’allait pas rater l’occasion de le poursuivre et de se lancer derrière lui. Elle ne se doutait pas du tout de ce qui pouvait l’y attendre.
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MessageSujet: Re: On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop)   On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop) Icon_minitime1Mer 2 Juil 2014 - 21:01

Je voyais mon billet filer dans le vent et il pouvait bien chanter une chanson du style somewhere over the rainbow, j'allais le rattraper ce fils de pute. C'est pas vrai que la chance de ma vie de retourner à la civilisation – putain, ce truc orange commence à me brûler la peau, c'est que trop inconfortable, vivement que je retrouve mes jeans et mon cuir, mes talons et mes cheveux mauves. Je me sens trop... naturelle. C'est vraiment pas confortable. Il manque de civilisation dans mes cheveux! Pouahaha. Non, ce n'est pas le temps de rire et de faire des blaques chimiques (all the good ones argon), faut que je retrouve mon billet. J'allais presque foncer dans une deuxième personne, une fille blonde qui me disait vaguement quelque chose, mais elle semblait habillée avec beaucoup trop de classe et elle me tends mon billet avec un sourire, alors c'est impossible.

C'est comme si un pirhanna devenait végétalien. Genre, vraiment? Naaah. C'est impossible. Pourtant, les mêmes yeux, à peu près la même taille (elle a peut-être pris un peu de poids, qui sait, trop de cavier ca tombe dans les hanches!), mais elle a une expression un peu plus sereine sur le visage, que je n'ai jamais vu sur celui de l'autre blondie. C'était quoi son nom déjà? Bof, pas important. Elle est à New-York, et ici on est pas à New-York. Sinon j'aurais pas eu à courir après ce foutu billet d'avion. Elle parle anglais de manière très propre, me semble que l'autre avait un accent ukrainien. Russe. Slave. Tcheque. Peu importe, la pimbêche avait un accent qui était pas américain, et la petite blonde gentille en avait presque pas.

« Merci! Je t'en dois une... Si on prends le même avion, on prends le taxi ensemble jusque là-bas? Ca fait un moment que j'attends le mien, j'ai l'impression que je vais manquer mon avion si je glande encore... »


Et voilà que mes politesses se font brusquement interrompre par un malotru qui commence à faire des insinuations sur une chèvre et ma mère. Pas que je l'aime particulièrement, la sapiens, mais de là à l'impliquer avec une chèvre! Non mais oh! Il y a des limites! Je me mets à répliquer dans un thai très approximatif, mais assez agressif. Je fait de son mieux pour projeter des ondes de peur dans ma voix, mais sans musique ambiante, c'est pas super super efficace. Sauf que là, il bouscule l'autre blondinette pour m'approcher! J'allais la défendre, quand je vois que... En fin de compte... C'est peut-être bien elle. Une petite boule d'agressivité blonde, des coups biens francs, bien directs, c'était trop pour ne pas être elle. Après deux longues années, il a vraiment fallu que la première personne de New-York que je revois soit cette chieuse! Abasourdie, je vous dis, j'étais abasourdie! Tout, tout sauf elle!! Eh bien non, la voilà, là, devant moi, et moi je reste plantée là comme un poisson, les yeux grand ouverts et je comprends pas trop ce qui se passe.

Attends. La chieuse qui vient de balancer un coup de poing à un inconnu pour me défendre. Oh putain. La chieuse n'est plus aussi chieuse... Que faire? La défendre? Mais elle fait partie de l'Institut! Elle fait partie des ptits mutants qui veulent se faire (censuré) par des sapiens! Mais elle viens de me défendre!! En plus de m'avoir fait un sourire, d'avoir rattrapé mon billet, d'avoir été sympathique... Eh merde. Pendant que j'étais complètement sous le choc de la réalisation de son identité, le connard – comme elle l'a si bien dit, s'est poussé avec mon billet. Allez hop, une ptite course matinale! Oh putain, j'emmerde cette vie. J'ai des sandales qui ne sont définitivement pas faite pour courir et je cours pareil, sur le point de tomber et me casser le nez (hehehe, ca rappelle des bons souvenirs...) sur le bitume. Je suis capable de faire des trucs simples en criant, mais ca demande un peu de concentration... Dans une ruelle, je fais quelque chose que je n'ai jamais vraiment essayé, mais qui pourrais peut-être marcher... Ok...

On y étais presque, on l'avait presque rejoint. Je ne sais pas trop pourquoi elle courait avec moi pour le rattraper, mais c'est bien apprécié. Alors voici le plan. Je me défais d'une sandale et hurle. Un cri qui vient du fond du cœur, qui le fait retourner et le destabilise un instant. Puis, sandale dans la main, je la lance. Avec les ondes sonores du cri que je viens de faire, je projette une onde de choc en direction de la sandale pour lui donner de la puissance.

Jusqu'à présent, mon plan marche que trop bien! L'onde de choc est plus forte que sans musique, mais en fin de compte, peut-être un peu trop forte. Et il faut savoir une chose à propos de moi dans la vie, je ne sais pas viser. Oups.

Ouais ben... Apparement, il y avait un écureuil dans un escalier un peu plus haut. Merde, ils ont des écureuils ici aussi? Hehehe... Good times.... Bref. La sandale tape l'écureuil, l'écureuil tombe en criant et merci petit écureuil, tu tombe direct dans le visage du mec, toutes griffes sorties. Merci, merci écureuil... Sauf que le mec venait d'arriver là où il voulait arriver. Des types sortent d'une porte louche – il faut mentionner que les types ont l'air très louches? Eh voilà le type avec une belle trace de griffe d'écureuil sur le nez qui me pointe en mentionnant quelques chèvres, je crois, alors je me place en position de défense.

Soudain – FLASHBACK

Dans cette taverne, avec cette fille. J'ai déjà essayer de la protéger, parce qu'avouons-le, elle n'a pas l'air de savoir se défendre très très bien, elle a l'air beaucoup trop innocente. Genre chiuaua qui jappe. Tu as juste envie de le kicker le plus loin possible. Mais non, ce n'est pas vrai, je ne ferai jamais ça à la petite blonde, j'ai l'impression qu'elle me kickerais simplement plus fort en retour. Pas important. Je sais qu'elle a besoin de se prouver forte, et je ne ferai pas la même erreur que la dernière fois. Cette fois-ci, je vais faire comme si elle savait se défendre, au pire si elle meurt c'est pas ma faute.

SAUF QUE. Si elle me reconnaît... Je risque d'avoir à me battre contre elle ET contre les mecs. Alors là, autant bien m'enfuir tout de suite et appeler papy Magneto pour qu'il m'achète un nouveau billet. Au pire, je vais traverser l'océan à la nage, qu'est-ce qu'il peut y avoir de si pire? Naah, mieux vaut garder un profil bas, comme j'ai fait ces deux dernières années ici. Ca n'a pas toujours été couronné de succès, mais j'ai compris que le meilleur moment de frapper était dans le doute. Là, elle est certaine que je suis normale, autant qu'une fille en robe de moine est capable d'être normale. De toutes façons, je sais maintenant me battre encore mieux qu'avant, ces hommes n'ont aucune chance.

Je lui parle sans la regarder, toute mon attention focusé sur les hommes qui nous regardent maintenant avec des expressions du genre ''oh les petites chèvres, vous allez manger la raclée de votre vie'' que je trouve tout simplement adorable.

« Alors, tu prends ceux à droite, moi je prends ceux à gauche?
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Erïka M. Davidoff
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MessageSujet: Re: On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop)   On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop) Icon_minitime1Jeu 3 Juil 2014 - 4:36

"I am misused, I don’t wanna do
Be not your slave
Misguided, I mind it, I'm missin the train."

Erïka avait toujours tendance à se montrer trop agressive quand quelque chose la contrariait. Avec le temps, elle s’était montrée plus douce, plus conciliante, également. Elle avait fait beaucoup de progrès en rencontrant les bonnes personnes et en apprenant de ses erreurs. Maintenant, elle tentait de ne pas se laisser pourrir à journée pour un truc ou un autre. Elle était frustrée contre son père et après une longue argumentation, avait fini par lui dire sèchement au revoir. Elle aurait pu se sentir de mauvaise humeur pour le reste de la journée et passer sa frustration sur le premier venu. Plus maintenant.

Le billet d’avion d’une jeune femme était passé tout près d’elle et Erïka l’attrapa au vol. Elle le lui rendit avec le sourire. Ce n’était pas nécessaire de faire subir sa mauvaise humeur aux gens qui l’entouraient. Elle pouvait contrôler ses émotions, maintenant. Au final, cela avait fait en sorte d’apporter du bien et non du mal, cette fois. La femme lui proposait de partager le taxi avec elle pour se rendre jusqu’à l’aéroport. Cette idée plaisait bien à Erïka, qui devait simplement aller récupérer sa valise dans sa chambre. Cependant, avant qu’elle puisse accepter la proposition d’une quelconque manière, un enquiquineur vint les engueuler. En fait, il en avait surtout après la jeune femme. Pourtant, elle n’avait visiblement rien fait de mal. Erïka ne se retint pas pour l’engueuler à son tour et même lui coller son poing au visage en espérant que ça lui serve de leçon.

Elle pensait que cela pouvait être suffisant. Sincèrement, elle le pensait. Cependant, les choses ne s’arrêtèrent pas là pour autant. L’homme revint à la charge, vola le fameux billet d’avion et s’enfui. Il voulait s’en faire coller une ? Aucun problème, Erïka était partante pour lui donner une leçon. Elle se mit à courir derrière lui afin de le rattraper. Elle était rapide, agile, il n’allait pas pouvoir accélérer le pas ou sauter une clôture sans espérer ne pas pouvoir être rattrapé.

La jeune femme était également déterminée à retrouver l’homme. Évidemment puisqu’il s’agissait tout de même de son billet d’avion. Soudainement, elle lança sa sandale afin de toucher l’homme. Erïka n’était pas une spécialiste de la physique, mais elle avait l’impression que quelque chose s’était produit pour qu’elle se rende aussi loin. Puisqu’elle courait, elle ne remarqua que du coin de l’œil l’endroit où se dirigeait la sandale. Par contre, elle ne rata pas l’écureuil qui saute au visage de l’homme. Erïka se stoppa, étonnée, tentant de camoufler son amusement face à cette étrange scène.

La situation aurait pu être rapidement réglée si trois autres hommes n’étaient pas sortis de nulle part, visiblement prêts à se battre. Erïka avait déjà vécu des situations qui l’avaient obligé à se battre contre deux adversaires à la fois. Contre quatre, ça s’annonçait bien plus difficile. Elle ne considérait pas que la jeune femme à ses côtés savait se battre. Elle ne la connaissait pas, elle ne pouvait donc pas le deviner. Et puis, vu sa tenue, il lui paraissait plus évident qu’elle sache au mieux faire du Taïchi. Visiblement, le cinquième homme, celui qui s’était pris l’écureuil dans la gueule, n’allait pas faire partie du combat. Il va s’en faire coller une, qu’il y participe ou non.

Aussi surprenant que cela puisse paraitre. La jeune femme au prénom encore inconnu était prête à se battre. Si elle était si sûre de pouvoir le faire, pourquoi pas ? Cela allait donner le temps à Erïka d’en finir avec ceux dont elle devait s’occuper.


-« Ça me va. Fais gaffe, des hommes de ce genre ça sort très rarement sans leurs armes. »

Erïka attendit que l’ennemi fasse le premier pas. Elle préparait mentalement sa stratégie de combat. Ainsi, lorsqu’on vint pour l’attraper, elle agrippa le poignet de son agresseur. L’effet de surprise avait toujours un avantage. Elle entama le combat avec des coups puissants, autant que son corps pouvait le permettre. Elle avait pratiqué la boxe pendant des années avant de faire la connaissance de son père. Celui-ci eut tôt fait de remarquer qu’elle n’était le genre de femme à se faire défendre par une armée, mais bien à faire partie de l’armée. C’est ainsi que Sergeï Davidoff se mit en tête de lui enseigner ses connaissances, ce qu’il avait appris alors qu’il faisait partie des forces armées de Russie. Ancien général de division, il avait décidé de céder sa place afin de s’occuper davantage de ses enfants et de son entreprise. Cela lui laissait bien plus de temps pour entrainer sa fille à l’art du Systema. Elle apprenait vite, bien plus qu’elle ne l’aurait cru. Il serait probablement fier de la voir se battre, comme à ce moment même.

Visiblement, Erïka se débrouillait bien. Elle avait mis l’un des hommes au sol sans trop de mal. Il fallait savoir où frapper pour avoir l’effet désiré. Il ne restait plus qu’à s’occuper de son second adversaire. Jusqu’à présent, elle avait réussis à l’esquiver ou à bloquer ses coups. Maintenant, elle devait trouver le moyen de le mettre au sol. Un coup bien placé à la tempe pourrait avoir son effet. Il fallait seulement qu’elle arrive à le faire si l’opportunité s’offrait à elle, ce qui ne semblait pas être le cas, pour l’instant. Elle misait surtout sur la défense, cherchant à l’éviter autant que possible.

Aussi intelligente qu’elle était, il semblerait qu’elle ne pouvait voir qu’il s’agissait d’une bête distraction. Son esprit était concentré à saisir l’ennemi, lui casser le poignet ou le projeter au sol. Elle ne pensait qu’à une façon de le mettre hors d’état de nuire. Elle avait donc oublié l’homme aux chèvres qui s’approcha sournoisement d’elle. Il lui plaqua un mouchoir de chloroforme sur le nez. Aussitôt, elle se débâtit pour se défaire de sa prise. Le premier réflexe fut de lui donner un coup de tête. Il la lâcha, mais le second homme pris la relève afin de s’assurer qu’elle allait bel et bien tomber dans les vapes…


Dernière édition par Erïka M. Davidoff le Mar 4 Aoû 2015 - 4:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop)   On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop) Icon_minitime1Mar 4 Aoû 2015 - 4:37

La journée était pleine de promesses, le retour tant anticipé à la civilisation, je pouvais déjà sentir mon cuir chevelu chauffer sous l’attaque de l’ammoniac d’un produit quelconque pour les cheveux, suivi de l’attente… La douce attente, les regards jetés en biais vers le miroir pour voir la magie de la science à l’œuvre, magie occultée par la sombre couleur de la teinture… Mais on peut deviner la magie à l’œuvre.

Le mauve.

Bref, ça sert à rien de fantasmer sur le mauve, j’ai deux connards à tuer et une mutante qui ne semble pas m’avoir reconnue, tout à mon avantage je crois. Bien des chances qu’elle me laisse dans la merde où on se trouve si elle comprenait que je suis celle qui lui a cassé le nez pour avoir ramassé mon ipod dans un parc, voilà… Oh bordel, voilà longtemps. Du coin de l’œil, je vois mon ami l’écureuil passer à côté de moi et j’ai presque envie de lui filer un coup de pied en direction des moches, mais je me retiens. Pauvre écureuil, sa journée doit être assez merdique comme ça. Quoique, la mienne aussi hein!! Bah, trop tard de toute façon. Eh, si tu es dans la merde jusqu’au cou, ne baisse surtout pas la tête!

Un coup à droite, un coup à gauche, quelque chose d’étrange se produit, comme si toute l’anxiété du retour s’évanouissait au fur et à mesure que mes coups portaient. Un coup de coude fit jaillir une fontaine de sang, deux mains sur les épaules, on le fait pencher vers l’avant pour lui jeter un coup de genou en plein dans la fontaine de sang. Boooon, j’suis toute sale maintenant!! Un gloussement hystérique jaillit de ma gorge alors que la vieille Hyppy fait surface. Celle qui pète un câble une fois de temps en temps dans les ruelles, malgré moi la musique commence à sortir de mes pores de peau, une musique hystérique, aigüe, névrosée et convulsive, parfaite pour une Hyppy qui se lâche lousse.

MERDE. LA BLONDE. Elle va deviner qui je suis si je fais ça!! Trop tard, trop tard, trop taaaaaard…. Pourquoi j’m'endors d’un coup? Merde. Merde merde merde et re-merde. Je déteste le chloroforme.

D’habitude, j’ai pas de problème à être attachée. On s’entend qu’il n’y a rien de mieux qu’un peu de bondage pour s’amuser, mais là… Le mec est franchement moche. Même s’il me payait un million – ouais nan ok, pour un million peut-être… BREF, il est laid et je suis attachée, moi pas aimer. Moi vouloir sortir. Moi avoir le visage dans les fesses de la blondinette. Hmm, elle est pas mal roulée en fait la ptite blonde, je me demande si le tapis est comme les rideaux… Bref, c’est pas le temps de penser à ça – hehe, n’importe quoi, le sexe c’est en tout temps n’importe quand! Surtout quand une ptite blonde bien roulée est en jeu.

Nah mais qu’est-ce qui tourne pas rond chez moi? Hehe, beaucoup de choses. Peu importe, il est temps de sortir de la van et de courir. Avec ou sans la blonde? Eeeeeeh…. Elle fait partie de l’institut, faut pas oublier. Elle est du genre à vouloir se mettre à quatre pattes devant les sapiens et… Ouais ok, moi aussi je le fais, mais juste au sens propre, pas figuré. Bordel mais faudrait que j’arrête de me contredire dans mes pensées, ce serait un bon début vers la santé mentale. La route va être sombre et pleine de terreurs…

Si seulement mes ondes de choc pouvaient scier des cordes en deux!! Eh non, faut que j’attende comme une truie bien ficelée qu’on amène dans le four, voir qu’est-ce qui va se passer. La route est cahoteuse, mais encore c’est normal pour une route de thailande, c’est juste… inconfortable.

-Eh, eh blondie, t’es réveillée? S’il-te-plaît, par pitié, ne pète pas.

Eh ouais, c’est tout ce que je trouve d’intelligent à dire. Oh well, je viens d’être droguée, j’ai une excuse pour une fois.
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Erïka M. Davidoff
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MessageSujet: Re: On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop)   On va peut-être en rire une fois que tout est fini.... (Thailande) (PYPY/KAKA - Mode Coop) Icon_minitime1Jeu 6 Aoû 2015 - 18:34

“And I don't know where I am
And I don't know what I'm into
And I don't know what I've done to me”

L’adrénaline coulait à flot dans les veines d’Erïka. Elle était portée par le combat, son corps portant des coups puissants, attaquant sans peur de blesser. Un poing venait en sa direction et elle l’évitait naturellement. On tentait de l’agripper ? En un seul mouvement elle se libérait de son agresseur. C’était quasiment instinctif pour elle. On aurait pu croire que le combat en entier avait été chorégraphié. Ses techniques étaient plus précises, témoignant de ses entrainements acharnés. Erïka comptait bien maintenir la cadence aussi longtemps qu’elle le pouvait. Ce petit combat lui permettait de se défouler et d’expier toute forme de frustration en elle.

Soudainement, une étrange mélodie semblait pénétrer son esprit, l’encourageant à toujours frapper plus fort, plus rapidement, l’incitant à blesser, voir presque tuer. Pourquoi pas ? L’ambiance était appropriée. Personne ne les regardait, personne ne pouvait les voir depuis la rue de toute façon. Il suffisait de bien dissimuler les corps par la suite. La musique montait en elle doucement, l’incitant à suivre le rythme instable, totalement disjoncté. Puis, soudainement, alors qu’un mouchoir de chloroforme s’abattait sur ses lèvres, la musique commença à s’estomper peu à peu, jusqu’à ce que le silence prenne complètement sa place.

Lorsqu’Erïka reprit conscience, elle tenta de comprendre où elle se trouvait. Il était difficile de voir quoi que ce soit, l’habitacle où elle était se trouvait plongé dans la pénombre. Ce ne fut qu’en remontant le temps et faisant défiler les derniers événements dans son esprit qu’elle comprit finalement qu’elle se trouvait dans la merde. Presque littéralement. Ça ne sentait pas très bon dans ce van…

Tentant de bouger les mains, Erïka réalisa qu’elles étaient attachées derrière son dos. Elle n’aimait pas ça, mais alors pas du tout. Elle devait arriver à se libérer. Les nœuds étaient solides, ça n’allait pas être facile. La corde était rugueuse et irritait sa peau, comme si en plus d’être encombrante elle se sentait obligée d’être désagréable.


-« Eh, eh blondie, t’es réveillée? S’il-te-plaît, par pitié, ne pète pas. »

Erïka réalisa à ce moment précis qu’elle n’était pas seule. L’autre femme se trouvait avec elle. À en croire ses paroles, elle devait être le poids qui pesait sur son derrière. C’était… rassurant ? Pas tant que ça, mais au moins elle savait qu’un pervers n’était pas en train de la tripoter, c’était déjà ça de gagner.

-« Sérieusement ? Je sais pas si je dois en rire ou en pleurer…. »

Erïka tenta de rouler sur le côté opposé au corps de la femme pour ainsi lui permettre de mettre sa tête ailleurs que sur son postérieur. Le sol du van était moins confortable, mais il n’était pas un organisme vivant capable de péter, au moins. Le dos d’Erïka ne tarda pas à heurter l’une des parois du véhicule. L’espace était restreint, personne d’autre ne semblait être présent. C’était une bonne chose car elles avaient besoin de réfléchir à ce qu’elles allaient faire pour fuir d’ici au plus vite.

-« Je crois que ces cons ont manqués de corde… » Fit-elle en réalisant que ses pieds étaient libres.

Se tortillant comme un petit saucisson, Erïka arriva plus ou moins à se redresser comme il se doit. Elle ne tenait pas bien droite, mais au moins elle semblait relativement bien assise sur ses fesses.


-« On a intérêt à trouver un plan de génie avant qu’ils se ramènent. T’es douée au combat, de ce que j’ai vu. Tu penses qu’on devrait tenter de leur en coller une des qu’ils ouvriront les portes ? »
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